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 Des parents bien éloignés... (Harry Potter)

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Ysbridion
[†] Purdey W. Potter
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Message#Sujet: Des parents bien éloignés... (Harry Potter)   Des parents bien éloignés... (Harry Potter) Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 0:28

Il faisait nuit noire sur Poudlard, nonobstant le concierge et sûrement quelques élèves aventureux tout le monde dormait dans l'école. De l'extérieur on pouvait la lumière dans le bureau du tout nouveau professeur de vol sur balai : madame Purdey Potter. L'ex-auror mit un point final à la lettre qu'elle adressait à ses enfants, elle la roula, la cacheta et l'accrocha au pied d'Abbott, son hibou.
Quelques mois plus tôt, le professeur de vol sur balai avait été victime d'une chute qui lui avait brisé les jambes et sûrement même le bassin. A Ste-Mangouste on ne cachait pas qu'on doutait de le voir marcher sur ses deux jambes a nouveau. C'est Dumbledore qui avait suggéré à Dippet de prendre comme remplaçante celle qui avait fait les beaux jours de l'équipe de Gryffondor et qui aurait pu mener une carrière professionnelle.
Durant leur longue conversation il lui avait dit se sentir coupable de la mort d'Afanen et voulait se racheter, il était peiné de voir la détresse dans laquelle était Purdey. Cette dernière avait eu beau lui dire que la mort de sa petite sœur n'était imputable qu'à elle-même,rien à faire. Peut-être y avait-il une culpabilité de la part d'Albus, s'il était venu plus tôt beaucoup de ceux envoyés serait encore en vie, le mari et la sœur de la galloise y compris.

14 ans après son départ de Poudlard, voilà qu'elle y retournait mais de l'autre côté. Une sensation étrange elle qui pensait avoir tourné les talons définitivement. Elle s'était plu à Poudlard, là n'était pas la question, mais comment dire ?... Elle avait son destin d'Auror et désirait aller de l'avant.
Elle regarda le hibou partir puis décida d'aller voir comment allait ce William Black. Purdey se demandait ce que ce mioche avait de spécial pour que Dumbledore lui demande de veiller sur lui. Elle l'avait vaguement vu depuis son arrivée et ne voyait pas en quoi il était spécial, bon ok il avait une joli cicatrice au front mais sinon...Cela dit l'auror qui était en elle savait qu'il ne fallait jamais se fier aux apparences. certains sorciers à qui on aurait donné le bon Dieu en confession s'était révélé être des fervents soutiens de Grindelwald.
Elle monta sur le rebord de la fenêtre et commença sa transformation. Il fallut quelques secondes à l'animagi pour prendre sa forme animal. Il lui avait fallu cing longues années pour devenir un Animagi mais le jeu en valait la chandelle. Qui se souciait du corbeau perché sur la tour ? Elle pouvait espionner ou prendre par surprise ses adversaires avec sa transformation, ce qui était un avantage non négligeable. Durant la guerre cela avait été d'un grand secours, éventant plusieurs attaque des fidèles de Grindelwald et permettant aussi de monter des opérations avec un nombre de renseignements non négligeables.
Ici en l’occurrence, sa forme animale lui permettait de regarder par les fenêtres du dortoir des garçons pour voir si William Black était couché. Il lui avait été facile de savoir qu'il avait un lit près d'une fenêtre. Quand elle s'accrocha au rebord de la fenêtre elle put aisément voir que le lit était vide, mais il était passé où ? Elle s'envola et prit de la hauteur pour voir s'il était à l'extérieur. Du mouvement sur le terrain de Quidditch attira son attention, une personne volait sur son balai. Intriguée (pourquoi quelqu’un volerait dans le terrain de Quidditch à une heure pareille de la nuit ?) elle fit un piqué et passa un peu au-dessus de la personne...qui s'avéra être William Black. Mais que foutait-il ici ? On pouvait s'entrainer au Quidditch toutes les heures ud jour alors pourquoi s'entrainer en cachette la nuit ? Elle s'éloigna un peu et descendit au sol pour reprendre forme humaine. Elle rentra alors dans le terrain par l'entrée des joueurs et s'exprima d'une voix forte :
- Mr Black !

Son ton n'était pas très sympathique, il s'agissait bien de celui d'un professeur rappelant un élève à l'ordre.

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Mot écrit par Purdey après la mort de de son mari. Elle le porte toujours avec elle.

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Message#Sujet: Re: Des parents bien éloignés... (Harry Potter)   Des parents bien éloignés... (Harry Potter) Icon_minitimeMar 4 Sep - 12:10

Harry avait pourtant tout planifié. Preuve ultime que préparer une escapade à l'avance ne servait à rien, et il ne manquerait pas de le faire remarquer à Hermione la prochaine fois qu'il la verrait. S'il la voyait un jour... Parce-que se faire surprendre par un prof en train de voler en pleine nuit, c’était soit le renvoi soit l’internement à Sainte Mangouste. La seule solution pour s’en sortir aurait été d’avoir une bonne excuse, et c’était loin d’être le cas. Le jeune homme descendit rapidement en piqué et atterrit sans trop de douceur. Tandis que la prof qui l’avait interpellé se dirigeait vers lui, il réfléchissait à toute vitesse pour essayer de se sortir de là.

La soirée n’avait pourtant pas trop mal commencé : malgré les abondantes leçons de morale d’Hermione, à qui il avait fait part de ses projets nocturnes, et l’air affligé de Ron qui l’avait regardé quitter le dortoir comme si c’était la dernière fois qu’ils se voyaient, Harry n’avait rencontré personne lorsqu’il avait traversé la moitié du château, ce qui relevait du miracle, vu le nombre de sorciers qui patrouillaient la nuit par ces temps troublés. Il avait pris soin de vérifier la veille que la serrure de la cabane qui renfermait les vieux balais de l’école ne résistait pas à l’Alohomora, et il avait donc pu attraper un balai et foncer vers le terrain. L’été approchant, la nuit n’était encore pas entièrement tombée lorsqu’il s’était élevé dans les airs.

Bien sûr, les sensations n’étaient pas les mêmes sur cet espèce de bâton préhistorique que sur le magnifique Eclair de Feu que lui avait offert Sirius, mais il y prêta à peine attention. Le seul fait de pouvoir à nouveau sentir l’air sur son visage, voir le haut des tours, s’élever à toute vitesse puis redescendre en piqué, provoquait en lui une sensation de bien être qu’il avait rarement ressenti cette année… Bien sûr, il aurait aimé joué au Quidditch, ne pas être obligé de s’enfermer dans la salle commune les jours de beau temps afin de ne pas être tenté de voler, ou tout simplement pouvoir assister aux matches sans être vert de jalousie. Mais les Voyageurs, avec le renfort de Dumbledore, avaient réussi à convaincre Harry que le voir sur un balai éveillerait obligatoirement la curiosité des habitants du château et, ce qui était plus grave et plus dangereux, la jalousie ou la convoitise. Inutile de se faire remarquer davantage. Il avait donc dû laisser de côté sa passion, et retrouver ces sensations, ne serait-ce qu’une petite demi-heure par une soirée d’été, lui faisait un bien fou. Enfin… C’était avant d’entendre une voix crier son nom dans la nuit.

En effet, en redescendant sur terre –et ce dans tous les sens du terme- l’apprenti sorcier réalisa qu’il était resté dans les airs beaucoup plus longtemps que ce qu’il pensait. La nuit était tombée, sans doute depuis une petite heure, ce qui signifiait qu’il aurait dû être rentré depuis belle lurette. Autrement dit : des ennuis en perspective.
La voix qui l’avait interpellé appartenait à une femme, plutôt jeune, l’air peu commode, sorte de Mac Gonagall en début de carrière, sans le côté je-me-transforme-en-chat-et-hop-me-revoilà. Harry distinguait son visage grâce aux panneaux lumineux qui éclairaient le terrain près des vestiaires. L’expression dure, les yeux à peu près noirs, et des cheveux qui ressemblaient fort aux siens, pensa-t’il avec une pointe d’amusement. En tous cas, elle n’avait pas l’air d’être du genre de ceux avec qui on peut s’arranger. Il était mal barré.


- Bonsoir madame, heu… Professeur.

L’hésitation était due au fait qu’il ne l’avait jamais croisée dans le château, ou du moins jamais remarquée. Impossible donc de savoir quel était son rôle, même s’il supposait qu’elle était là pour enseigner. Peut-être lui donnerait-elle son nom, même si ça ne l’avancerait pas à grand-chose…

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Message#Sujet: Re: Des parents bien éloignés... (Harry Potter)   Des parents bien éloignés... (Harry Potter) Icon_minitimeMer 5 Sep - 19:10

William descendit sur terre tout penaud. Purdey le fixa des yeux, il était clair qu'elle l'analysait sous toutes les coutures, elle remarqua sans mal l’étrange cicatrice sur le front, la tignasse de cheveux qui faisait penser à la sienne. Étrangement ce gosse avait des airs de vagues airs d'Angus, cela troubla l'ex-auror bien qu'elle s'efforça de le cacher. Retrouver des airs de son défunt mari chez un élève qu'elle n'avait jamais vu l'intriguait, bien qu'elle mette ça sur le compte du hasard.

- Allez ranger le balai et verrouiller la porte s'il vous plaitordonna t-elle sur un ton ferme

Elle regarda le jeune Gryffondor s’exécuter et verrouilla la porte avec un sortilège de collaporta. Elle se rappela mentalement de renforcer la sécurité du local pour éviter ce genre d'incidents dans le futur. Bon d'accord il faudrait être sacrément idiot pour voler les balais de l'école, Purdey était sûr que c'était sur ces balais que son grand-père avait volé. Cela dit on pouvait les emprunter pour voler de nuit comme la toute nouvelle professeur venait de l'apprendre.
- Suivez-moi Mr Black, continua-t-elle toujours sur son ton le plus aimable.

Elle emmena donc le jeune élève dans son bureau. Il n'avait rien de bien folichon même s'il était accueillant. Le feu qui brûlait dans l'âtre et le bois brillant donnait une allure chaude, sur la cheminée on pouvait voir l'ordre de Merlin seconde classe dont elle avait été décorée autour de deux photos. La première représentait Purdey en compagnie de 14 sorciers, ils souriaient tous et faisaient des coucous à la caméra, Purdey riait avec son mari. La deuxième représentait un groupe de sorciers nettement plus réduits et avec beaucoup de nouveaux visages, ils ne souriaient pas. On aurait presque pu croire à une photo moldu tellement les gens étaient stoïques.
Le bureau de Purdey était juste devant la porte. Il n'y rien d'autre dessus qu'un écriteau en bronze avec son nom et sa fonction, une photo de sa famille au grand comlet (avec Angus donc) et une photo d'elle avec sa soeur. Derrière, sur un présentoir était posé le magnifique balai personnel de Purdey.
Elle posa son manteau sur le porte-manteau à sa gauche puis en sortit sa pipe. Elle s'assit derrière son bureau et se l'alluma tranquillement, laissant William Black mariner tranquillement. Elle en tira quelques bouffées, savourant le goût fort de son tabac favori puis darda ses grands yeux sur l'élève en face d'elle.
- Seriez un idiot mr Black ? Si vous voulez vous entrainer ou faire du balai il suffit de venir me voir. Pas la peine d'en faire en cachette. Vous êtes bon d'après ce que j'ai pu voir mais personne ne vous en voudra si vous ne voulez pas intégrer l'équipe.



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Message#Sujet: Re: Des parents bien éloignés... (Harry Potter)   Des parents bien éloignés... (Harry Potter) Icon_minitimeMer 12 Sep - 12:36

Harry fut pris d’un pincement au cœur en voyant la porte du local à balais se fermer. Il n’aurait certainement pas l’occasion de voler à nouveau avant longtemps… Cependant, il avait dans l’immédiat un problème plus urgent à régler, et c’est donc avec docilité qu’il suivit sans poser de questions la femme qui l’avait interpellé. Il crut d’abord qu’elle l’emmenait chez le concierge, puis chez le directeur, mais elle ne s’arrêta qu’en arrivant devant la porte de ce qui devait être son bureau personnel.

La première chose qu’on remarquait en entrant dans la pièce était le balai, bien sûr. A moins que la passion du jeune homme pour le vol n’ait guidé son regard. Il était… Epoustouflant. Posé sur un présentoir, il semblait être fait pour attirer l’œil et captiver celui qui le regardait. Evidemment, il n’aurait pas fait long feu à côté de l’Eclair de Feu, de son ancien Nimbus ou même d’un Comète 260, mais c’était son aucun doute le balai le plus perfectionné de son époque. Et il semblait entretenu avec un soin qui frisait l’obsession. Cette constatation soulagea Harry : si cette femme était une passionnée de balais, elle serait sans doute plus encline à pardonner son escapade nocturne.

Il réussit finalement à détacher son regard du balai et passa une main dans ses cheveux tout en s’efforçant de revenir à la réalité. La femme –c’était une prof, c’était certain à présent- le fixait toujours de son regard sombre et n’allait sans doute pas tarder à lui demander des comptes. Tandis qu’elle contournait son bureau et s’installait dans son fauteuil, il balaya la pièce du regard afin de reprendre une contenance.
C’est alors que son regard tomba sur l’écriteau. Son cœur rata plusieurs battements, mais l’apprenti sorcier ne s’en souciait guère. « Purdey Potter – Professeur de vol ». Potter. Purdey Potter. Professeur de vol. Potter ! Comment avait-il pu ne pas y penser ? Il descendait d’une très vieille famille de sorciers, et la pensée que des membres de cette famille pouvaient vivre à Poudlard ne lui avait même pas traversé l’esprit !


- Seriez un idiot mr Black ? Si vous voulez vous entrainer ou faire du balai il suffit de venir me voir. Pas la peine d'en faire en cachette. Vous êtes bon d'après ce que j'ai pu voir mais personne ne vous en voudra si vous ne voulez pas intégrer l'équipe.


Cette phrase eut le mérite de le ramener quelque peu à la réalité. Il vrilla son regard dans celui de Purdey, qui avait entre-temps allumé une pipe. La fumée lui piquait les yeux. Il voulut parler, mais il aurait juré que sa bouche était remplie de cendre et que ses lèvres étaient en plomb. Il se gifla mentalement et détourna les yeux. Il ne pouvait pas se permettre d’être trop étrange… C’est seulement à ce moment là qu’il remarqua les photos qui ornaient la pièce. Certains ne lui ressemblaient pas du tout –sans doute des amis de la jeune femme-, mais beaucoup présentaient des ressemblances frappantes : ici, le même front large ; là, les mêmes yeux sombres et, bien entendu, des cheveux strictement indomptables. Harry faillit sourire en se faisant cette remarque, mais se retint à temps. Il regarda à nouveau l’enseignante, qui attendait patiemment sa réponse. Peut-être penserait-elle que son comportement bizarre était dû à la peur d’une sanction ou d’un renvoi ?

- Je… Je suis très timide.

L’adolescent était surpris de réussir à articuler quelque chose de plausible. Ce faisant, il dévorait son ancêtre des yeux, gravant cette image dans sa mémoire…


- C’est pour ça, je préfère voler tout seul, le soir… Je n’ai pas vu le temps passer, je suis désolé.

Il brûlait d’envie de la questionner sur sa vie, sa famille, ses passions, savoir si elle était mariée, maman… Il n’en fit rien. Il resta debout, silencieux, craignant que tout ceci ne soit qu’un rêve, et de le briser au moindre faux pas…

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Message#Sujet: Re: Des parents bien éloignés... (Harry Potter)   Des parents bien éloignés... (Harry Potter) Icon_minitimeSam 15 Sep - 1:37

Purdey se rendit soudain compte que William était debout au milieu de la pièce comme un idiot. Elle l'invita d'un geste à s'asseoir dans le fauteuil en face du bureau.
Elle le dévisagea tandis qu'il expliquait pourquoi elle l'avait trouvé à une heure pareille en train de voler sur le terrain de Quidditch. Elle vit bien son regard, il ne dura que quelques secondes mais ça n'était plus le regard d'un élève pris sur le fait mais celui d'une personne qui vient d'avoir la surprise de sa vie. Quand Purdey lui adressa la parole, elle vit qu'elle le prenait au dépourvu et cela la surprit. Comment avait-il pu oublier qu'il avait été pris hors de son lit en pleine nuit ? Par acquis de conscience Purdey regarda discrètement son décolleté, non ce soir il n'était pas du plongeant, on ne voyait même absolument rien, les hormones du jeune homme n'avait donc rien à voir dans l'histoire.

Machinalement, sans vraiment y penser elle prit un fuseau et commença à tirer le portrait de cet élève qui l'intriguait. Quelqu'un qui connaissait bien l'ex-auror aurait su qu'il s'agissait chez elle d'un signe de réfléxion et de concentration intense. Dessiner lui permettait de focaliser on esprit, cela permettait cadrer ses pensées sur la chose qui l'intriguait ou lui posait problème. Pendant la guerre, les murs de son bureau était recouvert de croquis de Grindelwald et de nombres de ses fidèles ainsi que des paysages liés à des évènements.

William se reprit vite et son excuse fit sourire la nouvelle professeure. Elle était bonne, Purdey songea avec amusement qu'elle aurait pu sortir la même excuse au même âge. La galloise déplora son arrivée en fin d'année qui la rendait incapable de connaitre chaque élève précisément. Savoir quel type d'élève était William Black aurait pu l'aider à savoir s'il mentait ou non. En l'absence de tel renseignement elle se fia à ses connaissances acquises durant les années comme Auror. La plupart des personnes qui mentent ont des tics très particuliers dont ils ne se rendent pas compte eux-même. Purdey dévisageait son arrière-petit-fils qu'elle ne connaissait pas encore, cherchant ces petits détails qui montre qu'une personne vous raconte un bobard.
Et le moins que l'on puisse dire était que le bougre était un bon menteur, peu de choses montrait à Purdey qu'il lui racontait des cracks. Elle choisit donc une approche légèrement différente dans le but d'en connaitre plus sur la personne que Dumbledore lui avait demandé de surveiller. Elle lui sourit amicalement :
- Calmez vous je ne demanderais pas votre renvoi, si on renvoyait tous les élèves qui sortent la nuit l'école serait vide...et j'aurais sûrement fait parti des radiés. Parc ontre je dois effectivement vous sanctionner...(elle afficha un air intrigué) vous avez l'air troublé, quelque chose vous dérange ?

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