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 Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor

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HYDRE
Alastor Prewett
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Message#Sujet: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeMar 12 Mai - 19:36

Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation
   
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Alastor avait l’impression que les choses s’accéléraient subitement, depuis ces derniers temps. Depuis que leurs ennemis directs avaient conscience de leur existence, pour être plus précis. Aaron avait été découvert, ce qui n’était pas forcément une bonne chose pour eux, mais surtout pas pour lui. De ce qu’il savait, le jeune homme avait vraiment morflé, de la main de l’ennemi, de celle d’Ignatius… il ne savait pas vraiment. Mais en tout cas, il avait vraiment dégusté. Alastor ne s’en réjouissait pas forcément. Certes, il n’appréciait pas beaucoup Aaron, mais cela ne voulait pas dire qu’il lui souhaitait de vivre ce genre de situations non plus. Il n’était pas aussi sadique, cela ne lui servirait à rien.

En tout cas, la situation avait changé, parce qu’au sein de l’Hydre, leurs prérogatives allaient forcément changer. Il ne pouvait être totalement sûr de cela, parce que c’était Ignatius, et seulement lui qui aurait le dernier mot, mais il trouvait tout de même cela logique que son frère décide de jouer certains pions, et d’essayer de nouvelles tactiques de jeu. Alastor s’en remettait à lui, comme toujours. Et il suivrait ses directives sans broncher, parce qu’il avait toujours pour but de rendre son fier, et de le contenter de la meilleure manière.

Mais ce n’était pour le moment, pas avec Ignatius que le jeune homme avait rendez-vous. Mais avec Tibérius Yaxley. Un homme qu’il appréciait grandement, et ce depuis longtemps. Alastor avait une grande confiance en lui, et une grande sympathie. Ce qui était encore accentué par le fait que Tibérius aussi, faisait partie de l’Hydre. Ils marchaient donc vers la même direction, et avaient les mêmes objectifs, mais si Alastor n’était pas le plus puriste des sang-purs, mais Ignatius avait su trouver les mots pour le convaincre, comme il avait toujours fait.

Quoiqu’il en soit, les deux hommes avaient convenu de se retrouver au Chaudron Baveur, à la fin de leur journée respective de travail. Il était parfois bon de savoir se détendre, et ce ne serait pas trop. Alastor n’avait pas l’intention de rentrer aux aurores, il espérait comme toujours pouvoir passer du temps avec ses fils. Mais passer du temps avec ses amis était quelque chose d’important aussi, et il ne voulait pas négliger ses relations. D’autant plus que Tibérius était le parrain de Gideon, ce qui avait tendance à renforcer davantage leur lien.

Déjà installé, il lui fit un petit signe de la main quand il passa le pas de la porte, lui intimant de venir le rejoindre, avec un sourire.

« Bonjour Tibérius, je suis content de te voir. Ça commençait à remonter, tu vas bien ? »

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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeMar 30 Juin - 23:38


Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation
Alastor & Tibérius
Tibérius a de moins en moins l’occasion de sortir. Il a l’impression de passer sa vie à travailler, et effectivement, c’est le cas. Il enchaine les projets familiaux et les jugements au Ministère, l’écriture de ses ouvrages et puis les projets de l’Hydre. Fut un temps où il était bien plus sociable, où il passait de soirée en soirée pour refaire le monde, et où l’on écoutait ce qu’il disait. Les conversations sont devenues plus feutrées et lui moins fêtard, principalement parce que ses obligations le rattrapent, même si, joueur et amateur de jazz, il n’est pas encore devenu rare de le voir fréquenter la bonne société sang pur, ou diner entre amis dans les grands clubs sorciers de Londres. Simplement, Tibérius Yaxley choisit avec soin ses amitiés et fréquentations. Il a toujours procédé ainsi, et dès Poudlard, il n’a accordé qu’à peu de gens son amitié et sa confiance, parce que tout le monde n’en était pas digne. De cette petite bande d’amis, tous sont restés soudés ou presque. Tous sangs purs, la plupart dans l’Hydre. Il les fréquente toujours, tous, car si son temps est précieux, la loyauté de Yaxley est sans faille. Les façons qu’il a d’aimer les gens sont souvent fragiles et maladroites, on ne l’a pas éduqué comme ça, mais elles existent, se sont inventés très tôt et ne bougent plus.

Alastor Prewett fait partie de ces vieilles relations qu’il connait depuis des lustres. A part ses frères et sœurs, il est sans doute ce qui se rapprocherait le plus, pour le personnage un peu froid et austère qu’est le chef de la famille Yaxley, d’un meilleur ami. Ignatius est sans doute un mentor, Alastor est un égal. C’est une bonne chose, alors que pour la première fois de sa vie, Tibérius ne sait pas bien où il en est par rapport à sa famille, qui constitue usuellement son point de repère.  Prendre un verre avec le brigadier est donc bienvenu. Un peu en retard, il passe la porte de l’établissement en cherchant son ami du regard, et l’aperçoit immédiatement. « Alastor, comment vas-tu ? » Le ton chaleureux de Prewett promet une bonne soirée, une soirée intelligente, loin des idioties administratives qu’il a dû régler toute la journée à propos des terres familiales. « Épuisé, j’ai l’impression de passer ma vie à courir après tout. Entre le Ministère, mes livres, et la famille, je ne sais plus où donner de la tête. Il parait qu’il faudrait que je me trouve une femme, aussi, mais matériellement, je n’ai pas le temps. »  Tibérius se laisse tomber sur une chaise, effectivement épuisé. Il a une mine de papier mâché et des cernes de six pieds de long. C’est le problème d’être un bourreau de travail ne livrant jamais ses émotions :  à un moment donné, le sommeil passe à la trappe. « Je ne sais pas comment faisait mon père, j’ai l’impression d’être lessivé. » Avoue-t-il d’ailleurs, se passant une main sur le visage.

Puis, avec un vrai sourire, complice cette fois, il ajoute : « Et les choses bougent. Tu as vu Ignatius récemment ? Il va y avoir du mouvement…» Le ton est celui d’un conspirateur ; ils savent tous deux à quoi il fait référence. Peut-être qu’Alastor aura de nouvelles informations, d’ailleurs. La dernière fois qu’il a vu le frère de ce dernier, il lui a confirmé que de nouvelles stratégies allaient se mettre en place. Restent à voir lesquelles, même si pour l’instant, ils sont dans l’expectative, attendant que l’ennemi bouge le premier.

Le serveur vient prendre leur commande, et Tibérius en profite pour orienter le sujet sur son ami : « Et toi, alors ? Quoi de neuf à la police magique ? Je n’en vois que vos dossiers. Pas trop dur de supporter un patron comme Leach ? » Merlin sait qu’il déteste le patron de la police magique, un né-moldu tapageur et pénible. Il se demande d’ailleurs comment Alastor fait pour le supporter.  «  C’est vrai que ça remonte, je crois que ça fait une éternité que je n’ai pas vu mon filleul, non plus. Comment vont les garçons et Ginevra, d’ailleurs ? »


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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeSam 12 Sep - 12:28

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Alastor espérait pouvoir passer une bonne soirée. Mais en compagnie de Tibérius, il n’y avait pas de raisons pour que ce ne soit pas le cas. Ils se connaissaient depuis longtemps tous les deux, et ils avaient les mêmes centres d’intérêt, les mêmes cercles, les mêmes visons des choses… bref, ils étaient compatibles sur beaucoup de points, et c’était probablement ce qui faisait qu’ils s’entendaient si bien, tous les deux. C’était une amitié à laquelle Alastor tenait, et donc qu’il prenait le temps d’entretenir. Ce n’était pas la seule, il était également très attaché à Pollux, et à Orpheus, et il prenait également le temps de passer du temps avec eux. Mais pour ce soir, c’était donc le tour de Tibérius.

« Alastor, comment vas-tu ? Épuisé, j’ai l’impression de passer ma vie à courir après tout. Entre le Ministère, mes livres, et la famille, je ne sais plus où donner de la tête. Il parait qu’il faudrait que je me trouve une femme, aussi, mais matériellement, je n’ai pas le temps. Je ne sais pas comment faisait mon père, j’ai l’impression d’être lessivé. »

Alastor se permit d’afficher un petit sourire à la déclaration de son ami. Non pas qu’il trouvait cela particulièrement drôle, mais c’était un discours auquel il était habitué de la part de son ami. Il est vrai que Tibérius avait diverses responsabilités, être le chef d’une famille nombreuse, ce n’était pas forcément simple à gérer. Alastor n’était pas l’aîné des Prewett, mais il avait une femme et deux enfants, alors il comprenait que cela puisse vite devenir très prenant. Quant au fait de se trouver une femme, Tibérius était un bel homme, avec une excellente situation, et une très bonne réputation, alors ça ne devrait pas être très compliqué, même s’il ne restait pas forcément beaucoup de choix, il en convenait.

« Ne te montre pas si dur envers toi-même, je suis convaincu que tu ne t’en sors pas si mal. Tout ces projets sur lesquels tu bûches… c’est admirable, vraiment. Et je ne me fais pas de soucis pour toi, tu seras rapidement marié si c’est ce que tu souhaites, au pire, demande à un de tes proches de te trouver une fiancée, je suis certain que c’est faisable. »

Alastor était sérieux, et il ne tentait en aucun cas de le brosser dans le sens du poil. Mais il ne se faisait pas de soucis pour lui, cependant. Il savait qu’il allait s’en sortir avec brio, parce que Tibérius avait toujours été un homme brillant et appliqué, et donc, il saurait se sortir facilement de ses difficultés éventuelles. C’est tout ce qu’il lui souhaitait du moins. Il aurait apprécié entendre de la part du jeune homme que tout allait bien pour lui, mais Tibérius n’avait pas non plus avancé qu’il allait mal, donc en soit, tout allait bien.

« Et les choses bougent. Tu as vu Ignatius récemment ? Il va y avoir du mouvement…»

Oui, il avait vu Ignatius dernièrement. Et depuis leur récente querelle, il avait toujours l’impression de marcher sur des œufs avec son frère. Ce n’était pas la situation la plus agréable du monde, et il espérait qu’elle finirait par se dissiper. Concernant l’Hydre, oui, il avait cru comprendre que les choses allaient s’accélérer, mais de ce que disait Tibérius, il avait peut-être eu plus d’infos que lui… mais si c’était le cas, ce n’était pas vraiment l’endroit pour en parler, les oreilles indiscrètes trainaient partout dans ce genre d’endroit.

« Et toi, alors ? Quoi de neuf à la police magique ? Je n’en vois que vos dossiers. Pas trop dur de supporter un patron comme Leach ? C’est vrai que ça remonte, je crois que ça fait une éternité que je n’ai pas vu mon filleul, non plus. Comment vont les garçons et Ginevra, d’ailleurs ? »

Alastor était amusé par le flot de questions de son ami, mais au moins, cela témoignait de son intérêt, ce qui était plutôt flatteur. De son côté, il n’était pas à plaindre, mis à part que Leach était un vrai con, pour le reste, il était plutôt très content de la tournure qu’avaient pris les choses. Tout allait bien dans sa vie, en particulier ce qui concernait sa femme et ses fils. Ses garçons étaient toute sa vie, et il s’émerveillait à chacun de leurs accomplissements, même si ce n’était pas grand-chose. Ce n’était plus à prouver qu’il était un vrai papa gâteau, et Ginevra ne cessait pas de lui signifier.

« Tout va bien. Je me passerais bien de Leach, ce type est un vrai abruti. Il me déteste juste parce que je suis un sang-pur, et que monsieur se sent perpétuellement persécuté. La famille va bien aussi, en parlant de Gid, il a récemment fait preuve de magie. Je n’étais pas là, mais Gina m’a raconté. Et oui, j’ai vu Ignatius récemment, je le vois régulièrement. On s’est un peu disputé y’a quelques temps, mais bon. »

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Tibérius Yaxley
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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeMar 22 Sep - 20:58


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Alastor & Tibérius
Les enjeux, pour Alastor et Tibérius, ne sont pas les mêmes. Il faut dire que s’ils sont restés proches, du fait de leur amitié vieille de Poudlard, que leur chemin, en dehors du monde professionnel et bien sûr de l’Hydre, se sont un peu éloignés. Parfois même, de façon un peu mesquine, il se surprend à envier un peu la vie facile – ou l’illusion qu’il en a – que mène le cadet Prewett. Pas de responsabilités ni de mère sur qui veiller, pas de mariage à organiser puisqu’on l’a fait pour lui et une magnifique famille. L’idée d’en fonder une ne déplairait pas à Yaxley, il y est de toute façon préparé parce que c’est ce qu’on attend de lui, mais bon sang, parfois il lui semble jeune pour devoir gérer tout cela, et quoique Alastor en dise, ce n’est pas si facile. Malgré tout son parcours et son bagage, il ne dira pas, mais le poids du statut de chef de famille pèse au juge et souvent il doute de lui : le montrer signe de faiblesse, bien sûr. Mais en buvant une gorgée de la bière que le serveur lui apporte, Yaxley se dit qu’il ne doit pas être désagréable d’être un cadet : il pourrait encore profiter des bars, des soirées jazz, et draguer quelques filles avant de se ranger. Maintenant, il lui reste peu de temps… Il sourit cependant, avec détachement, parce qu’il ne peut pas se permettre de craquer. « Tu n’as pas tort. Mais je suis d’avis qu’il vaut mieux faire les choses soi même si on veut qu’elles aboutissement, tu ne crois pas ? » Yaxley se croit souvent à la pointe de la modernité, mais au fond, il y a un architecture et un monde sang pur qu’il veut conserver, ce que traduisent ses pensées dans la foulée : « Et puis un chef de famille qui délègue ses responsabilités, ça ferait mauvais genre… » Ça doit paraitre étrange à Alastor, qui ne connait pas tous ces enjeux, mais c’est le quotidien de Yaxley.

Ce n’est pas pour autant qu’il se désinteresse ou qu’il jalouse trop longtemps son ami. Au contraire il est désolé d’apprendre ses déboires avec son chef. « Leach nous déteste tous. Tu as vu comment il se comporte avec Orpheus. Il faudrait que quelqu’un le blackboule, mais il a l’air d’avoir Tuft mère dans sa poche, c’est mal parti…tu ferais un bien meilleur responsable de la police magique que lui. » Et ça finira par arriver, car les choses bougent et se mettent en branle. Bientôt, Tibérius l’espère, ils n’auront plus à traiter, ni lui pour le Magenmagot, ni Prewett à la Police Magique, avec ces gens de basse-extraction, et qui ne comprennent rien à la marche du monde. Yaxley est donc des plus sincères lorsqu’il fait ce compliment au policier, et il se rejouit également réellement lorsqu’il lui donne des nouvelles de son filleul : « Sérieusement ? Mais c’est formidable ! Je lui enverrai un petit cadeau, c’est le genre de choses qui se fêtent. Tiens, je trinque à ça, même ! » Il est rare de voir Yaxley faire une quelconque démonstration d’affection ; pour autant, il est très porté sur la famille, alors lui semble naturel.

C’est presque pour cela qu’il s’inquiète aussi lorsque Alastor lui annonce s’être disputé avec son ainé. Ça n’arrange pas leurs affaires politiques, ni le groupe, mais les Prewett sont avant tout de la famille et c’est ce qui pousse Tibérius a hasarder un : « Vraiment ? Je n’étais pas au courant. Rien de trop grave, j’espère ? » Il allume une cigarette, avant d’en proposer une au policier.


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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeDim 29 Nov - 14:37

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Alastor appréciait vraiment de pouvoir passer du temps avec son ami. Tibérius était proche de lui, ce qui était logique étant donné qu’il était le parrain de son deuxième garçon, alors les rencontres avec son ami étaient toujours très agréables. Alastor pouvait toujours en profiter. Il se doutait bien que ça ne devait pas être facile pour Tibérius, depuis la mort de son père. Il devait tout gérer, tout faire lui-même. Alastor n’avait pas cette contrainte, il était chef de famille certes, mais seulement en ce qui concernait son épouse et ses enfants, les affaires de la famille Prewett, c’était Ignatius qui s’en chargeait, en qualité d’aîné. Et Alastor préférait, honnêtement. Il savait que son aîné faisait un excellent travail, et qu’il n’aurait pas pu faire mieux. Il ne s’inquiétait donc pas de l’avenir de sa famille.

« Tu n’as pas tort. Mais je suis d’avis qu’il vaut mieux faire les choses soi même si on veut qu’elles aboutissement, tu ne crois pas ? Et puis un chef de famille qui délègue ses responsabilités, ça ferait mauvais genre… »

Il est vrai que l’on n’était jamais mieux servi que par soi-même, mais bon, c’était une question de point de vue, après. Tibérius avait une vue d’ensemble sur sa situation, il savait donc exactement ce qu’il y avait à faire, et comment il voulait le faire. Mais ça ne voulait pas dire qu’il était forcément seul. Il avait une large fratrie, un frère pas très éloigné de lui en âge, alors il aurait pu se voir aider, sans que personne ne soit au courant. Mais bon, il gérait les choses comme il le voulait. Alastor se contenta de hocher la tête aux propos de son ami, montrant son approbation.

« Leach nous déteste tous. Tu as vu comment il se comporte avec Orpheus. Il faudrait que quelqu’un le blackboule, mais il a l’air d’avoir Tuft mère dans sa poche, c’est mal parti…tu ferais un bien meilleur responsable de la police magique que lui. »

Alastor sourit. Il est vrai qu’il apprécierait diriger le service, ce serait un honneur pour lui, et un accomplissement professionnel. Il s’entendait très mal avec son patron actuel, et il savait bien que ça n’allait pas s’arranger. Il n’aimait pas du tout l’acharnement qu’il y avait sur Orpheus, et Alastor ne se gênait pas pour fourrer officieusement son nez dans l’enquête, afin de ralentir un peu le processus, et d’aider Orpheus. Il n’allait pas laisser son ami dans cette situation sans rien faire, et c’était l’occasion d’emmerder Leach. D’une pierre deux coups.

« Oui, il est vraiment sur le dos d’Orpheus, mais il lâchera l’affaire tôt ou tard, il ne pourra rien contre lui. Faut dire que notre ministre de la magie n’a pas l’air fûtée non plus. En tant que femme, elle doit se sentir heureuse d’avoir un « discriminé » qui lui apporte son soutien. Mais elle déchantera bien assez tôt, elle aussi. Quoiqu’il en soit, je te remercie, je pense aussi que je ferai un bon responsable. »

« Sérieusement ? Mais c’est formidable ! Je lui enverrai un petit cadeau, c’est le genre de choses qui se fêtent. Tiens, je trinque à ça, même ! Vraiment ? Je n’étais pas au courant. Rien de trop grave, j’espère ? »

Alastor était heureux de voir l’enthousiasme de Tibérius, concernant Gideon. Alastor était vraiment fier que son fils ait déclaré si tôt sa magie, comme son frère. Ses deux garçons étaient précoces. Cela ne voulait pas dire qu’ils deviendront des sorciers extrêmement puissants, mais cela relevait tout de même d’un certain potentiel. La partie concernant Ignatius était beaucoup moins joyeuse, mais Alastor tentait d’arranger les choses. La bonne nouvelle, c’était que son frère semblait avoir envie de lui pardonner, mais Alastor faisait tout de même des efforts. Surtout avec Lucretia. Alastor refusa la cigarette poliment.

« Pour une fois que ce ne sera pas moi qui le gâte, Ginevra ne pourra rien dire. Non, non. Cela s’est déjà en partie arrangé, mais bon… j’ai eu le malheur de critiquer sa sainte épouse, il n’a pas vraiment supporté. »

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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeVen 1 Jan - 23:53


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L’affirmation de Alastor pourrait passer pour une fanfaronnade mais elle ne choque pas Tibérius. Ils ont tous deux été éduqués dans l’idée qu’ils avaient un rôle à jouer dans ce monde et on leur a enseigné que leur place était celle des dominants et de ceux qui président à la marche du monde sorcier. Ils ont été élevés et préparés pour ça. Dominer est leur destin. Pire, la remarque acide, machiste et presque grossière de Prewett le fait rire, d’une façon séche et sarcastique qui n’appartient qu’à lui. C’est qu’il méprise réellement Leach et Tuft. C’est que pour Yaxley, ce n’est pas vraiment de l’humour : sans doute est-il même encore plus radical et fanatique que Alastor. D’ailleurs le voilà déjà qui hoche la tête avec sérieux : « Ça arrivera tôt ou tard. Leurs heures sont comptées, de toute façon. Après ça… » Il s’arrête, parce qu’il n’a pas besoin d’en dire plus et que malgré tout il ne veut pas qu’on les écoute, même si le bar est bondé et que personne ne prête attention à eux. « Enfin, on verra ce que l’avenir nous réserve, mais ça n’en restera pas là. Le jour où nous reprendrons ce qui nous appartient de droit approche. » Ça, Tibérius ne craint pas de le dire. Parce que de toute façon, tout le monde est au courant de ce qu’il croit, c’est écrit noir sur blanc dans ses livres et il n’en fait pas mystère.

De là, cependant, à évoquer en détail leurs plans, peut-être est-ce une moins bonne idée – la paranoia est la clef de toute bonne conspiration -  alors la conversation roule sur la petite famille de Alastor, avant de devenir plus sérieuse. Cependant, la mention de la dispute entre Ignatius et son cadet intrigue et ennuie Tibérius : cela pourrait se répercuter sur l’Hydre. Mais heureusement, le policier le rassure vite, et il hoche la tête gentiment : « Bon, bon, tant mieux, alors. Ce n’est jamais bon de laisser l’amertume grandir. Souvent, on s’aperçoit que les querelles ne sont pas si graves quand on est séparés… » Le ton s’est fait mélancolique et si le constat parait d’une banalité triste, il est l’expression la plus proche d’une verbalisation de la tristesse et de l’expérience que Tibérius peut ressentir à propos de son père, qui lui manque malgré leurs contentieux irrésolus, auxquels le renvoient malgré lui et sans doute malgré la volonté de son ami, l’évocation de la dispute de Alastor et Ignatius. Un instant mélancolique, le juge ne s’étend pas sur le sujet, peu désireux d’en dire plus, non seulement parce que tout ramener à lui serait très inconvenant mais parce que qu’il n’aime guère parler de ses émotions en général. Il enchaine donc d’un ton pragmatique : « Qu’est-ce que tu reproches à Lucrétia ? » Le ton est curieux. Tibérius ne peut pas dire qu’il est proche de la femme d’Ignatius mais Prewett lui a toujours servi de modèle et il ne lui viendrait pas vraiment en tête de critiquer les choix de celui qu’il considère comme son mentor ou son épouse. Il la suppose donc loyal et fidèle à la cause ; l’attitude de Alastor l’intrigue donc.

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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeJeu 15 Avr - 14:32

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Mine de rien, Alastor était tout de même content, de pouvoir casser un peu de sucre sur le dos de son supérieur. En même temps, il n’estimait pas que c’était démérité. Leach avait réellement un comportement abusif, envers certaines personnes. Alastor avait plusieurs personnes en têtes, dont lui. Et il ne dirait pas non, à l’idée de prendre son poste, mais il n’était pas sûr que cela se fasse tout de suite, ni même que Leach pense à lui pour sa succession. Encore que, s’il devait être démis de ses fonctions à cause de son comportement, on ne lui demanderait pas son avis. Alors, Alastor pourrait se contenter de postuler, et d’espérer être le meilleur candidat.

« Ça arrivera tôt ou tard. Leurs heures sont comptées, de toute façon. Après ça… Enfin, on verra ce que l’avenir nous réserve, mais ça n’en restera pas là. Le jour où nous reprendrons ce qui nous appartient de droit approche. »

Certes, c’était là le projet d’Ignatius, et de tous ceux qui le suivaient. Alastor, évidemment, partageait les idées, et les idéaux des puristes, et était fidèle à la cause portée par son frère. Mais il demeurait plus ouvert, et moins catégorique sur la question. Même s’il évitait d’en parler avec certaines personnes, dont Tibérius. Il connaissait assez ses proches pour connaître leurs avis sur la question, et il n’avait pas envie d’être pris pour un couard, ou quelqu’un qui n’avait pas de conviction. Il se contenta donc de hocher la tête, avec un petit sourire.

« Bon, bon, tant mieux, alors. Ce n’est jamais bon de laisser l’amertume grandir. Souvent, on s’aperçoit que les querelles ne sont pas si graves quand on est séparés… »

Alastor n’avait surtout aucune envie de s’éloigner de son frère, et il n’avait pas envie que ce dernier lui en veuille, ou le tienne à l’écart. Il n’y aurait pas pire que leur relation s’envenime, et se distance. Et encore moins pour une femme comme Lucretia, qui n’attendait probablement que ça. Il ferait toujours en sorte d’être de l’avis de son frère, ou si ce n’était pas le cas, il se soumettait devant lui. Les choses avaient toujours fonctionné de cette manière. Ignatius avait toujours été le dominant de cette relation, parce qu’Alastor était bien trop soucieux de son affection, et de son attention.

« Qu’est-ce que tu reproches à Lucrétia ? »

Tout. Elle était fausse, et manipulatrice, et il ne la sentait tout simplement pas. La seule chose qu’il voulait bien lui accorder, c’était qu’elle rendait son frère heureux. Même s’il se demandait si ce dernier n’était pas un peu trop aveuglé par ses sentiments. Il avait tenté, de bien s’entendre avec sa belle-sœur, il l’avait accueillie, mais le courant n’était jamais passé, et il ne passerait jamais. Ils auraient pu se contenter de se montrer cordial, l’un envers l’autre, et c’est ce que Alastor faisait, mais le fait que son frère ait clairement choisi le parti de sa femme, au détriment du sien, l’énervait réellement.

« Je n’ai aucune confiance en elle. Elle est fourbe, et manipulatrice. Elle ne m’apprécie pas plus que je ne l’apprécie, et ça ne m’étonnerait pas qu’elle tente de monter Ignatius contre moi. »

C’était peut-être un peu paranoïaque, mais il y croyait réellement.

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Message#Sujet: Re: Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor   Savoir soigner ses relations est la base de la socialisation | Tibérius & Alastor Icon_minitimeSam 24 Avr - 0:35


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Alastor & Tibérius

C’est moche, les disputes entre frères : Tibérius ne peut pas prétendre y connaitre quelque chose. Il faut dire que sa position est loin d’être la même que celle de Alastor. L’ainé, c’est lui, et à ce titre, sa situation est plutôt comparable à celle de Ignatius. Qui plus est, Yaxley n’est pas tellement du genre à laisser de la place à la contestation et il l’ignore purement et simplement, les motifs et velléités de brouille l’indifférent assez. Comme patriarche, c’est lui qui décide et les états d’Ames des autres lui apparaissent en général comme relevant d’une sensibilité mal placée. Il faut dire aussi qu’il n’a jamais vraiment été dans une situation de conflit ouvert avec ses frères et sœurs : ils sont habitués à son sale caractère, ont le leur et l’équilibre s’est construit ainsi. Mais maintenant que Alastor lui en parle, il se pose la question, craint que ça n’arrive, comme un sentiment prémonitoire des troubles et orages qui arriveront bientôt sur la famille Yaxley – curieusement en partie pour des histoires de cœurs et avec Rose, leur vieille amie, dans un rôle similaire à celui de Lucrétia.

En attendant, cette histoire est ennuyante pour les Prewett et surtout pour l’Hydre : il sait Alastor loyal, alors Tibérius doute que cela le mène à abandonner leurs projets. Mais tout de même, une ambiance tendue et des conflits larvés, ce n’est pas quelque chose dont ils ont besoin. « Je n’ai pas l’impression que ce soit le cas, ou en tout cas que ça marche d’une quelconque manière que ce soit. En tout cas, il ne m’en a pas parlé. S’il t’écoute, en tout cas, c’est qu’il considère que ton avis vaut autant que celui de ta belle-sœur. Je ne pense pas qu’il faille trop t’en faire. » Est-ce insensible ? Pas vraiment. Yaxley ne sait pas vraiment exprimer la compassion, ce n’est pas son genre et il est plus susceptible d’offrir un conseil pragmatique que de compatir explicitement, quand bien même c’est le cas. Au-delà de l’Hydre, et même si c’est à cela qu’il pense en premier lieu, il apprécie à la fois Ignatius et Alastor, et il est – cette fois – bien placé pour connaitre la valeur de la famille. Alors il fait une proposition sincère, pour découvrir ce qu’il en est et essayer d’aider son ami : « Je vais devoir y aller, mais si tu veux, j’essaierai de voir ce qu’il en est la prochaine fois que je le verrais.  Ce sera peut-être moins tendu avec moi. » Un arbitre neutre, et ami, ou en bons termes généraux avec toutes les parties, pourra peut-être dialoguer avec tous, à voir. Il dépose quelques mornilles sur la table, lançant amicalement : « Laisse, laisse, c’est pour moi. » Puis il serre la main du policier :  « On se revoit une prochaine fois ? De toute façon on se croisera pour l’audience du procès McLeod. Content de t’avoir revu, Alastor. »
(C) CANTARELLA.

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The necessary evil
Politically, the weakness of the argument has always been that those who choose the lesser evil forget very quickly that they chose evil.


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