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 La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33]

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Faustine Crivey
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Message#Sujet: La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33]   La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33] Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:13


La folie d'une personne est la réalité d'une autre.
 
L

es nuits sans sommeil s'enchaînaient et ne laissaient aucun répit à Faustine, qui rêverait de trouver du réconfort dans un sommeil réparateur, si une telle chose existe, ce dont elle doutait vraiment. Elle avait bien envisagé d'en passer par quelques artifices, comme la prise de somnifères, mais ces derniers, s'ils faisaient effet, n'empêchaient pas les cauchemars, et ces derniers étaient pires encore que les pensées qui l'assaillaient quand elle gardait les yeux ouverts. Sous ses paupières clauses, elle reconnaissait son visage, il venait la chercher, il l'invitait, et ce qui l'angoissait le plus, dans ce rêve, ce n'était pas tant la perspective d'être dans le collimateur d'un dangereux criminel qui avait versé le sang plus d'une fois au cours de sa vie et y prenait même plaisir, mais celle d'avoir envie, quelque part, de le revoir bel et bien.

Combien de fois Faustine avait-elle envisagé de trouver l'un ou l'autre prétexte pour se présenter, professionnelle certes, mais bien là, devant sa cellule... N'importe quelle excuse pour lui parler de nouveau. Est-ce qu'il lui manquait ? A haute voix, elle n'avait aucun droit de l'admettre, mais à elle-même, elle ne pouvait pas mentir sur ce point précis. Oui, il lui manquait, depuis deux ans, il lui manquait, terriblement... mais si elle avait dû envisager les moindres retrouvailles entre eux, elle se serait tout de même assuré que d'épais barreaux l'empêchent d'avoir une prise physique sur elle.

C'était trop tard. Pour l'heure, Jester ne s'était toujours pas manifesté, au point que Faustine finissait par se demander si ce n'était pas là un de ses jeux, si il n'attendait pas d'elle qu'elle soit celle qui irait le retrouver. Elle ne comptait pas lui donner satisfaction... mais elle en avait sans doute un peu envie. Et il devait le savoir. Elle avait le sentiment qu'il savait tout d'elle, qu'il cernait en elle ce que les autres ne voyaient pas, et quand les autres l'aidaient à nier sa nature, Jester, lui, l'aidait à s'y perdre. Elle ne devait pas le revoir... mais c'était inévitable.

En attendant, si elle avait l'intention d'oublier, elle ne pouvait certainement pas compter sur son enquête en cours pour aider en ce sens. Comme tous ses collègues, elle était surchargée, et elle ne pouvait pas vraiment se réfugier dans son bureau comme c'était le cas en temps normal. Elle avait la charge de retrouver plusieurs criminels en fuite et d'établir leur profil. Et pour couvrir le moment qu'ils avaient passé en prison, elle devait rencontrer Aristide Beurk. Elle le connaissait très vaguement, de nom, de réputation. Elle ne savait pas vraiment à quoi s'attendre mais elle n'allait pas tarder à le savoir, car l'homme, à l'heure au rendez-vous, frappa à la porte de son bureau.

-Monsieur Beurk, entrez. Installez-vous, je vous prie.

   


   
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Aristide Beurk
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Message#Sujet: Re: La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33]   La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33] Icon_minitimeDim 15 Aoû - 19:01

La mort rapproche les gens... il paraît.
Aristide avait un peu le sentiment de passer sa vie au bureau des Aurors ces derniers temps. Bon, il exagérait un peu mais… quand même, il passait souvent. Ce n’était pas toujours un moment très agréable, surtout que beaucoup l’avaient dans le collimateur et considérait qu’il avait un rapport avec le gros trou se trouvant dans la prison actuellement. Il ne pouvait pas leur en vouloir, puisqu’il avait bel et bien un rapport avec tout ça. Mais il devait jouer le jeu, continuer de jouer son rôle et cacher son implication, en faisant en sorte que les soupçons se tournent vers son patron. Ce serait une bonne façon de débarrasser la place de directeur et qu’il puisse s’y installer, même s’il savait que les soupçons à son égard n’allaient pas disparaitre si facilement.

Pour l’heure, c’était une Auror du nom de Crivey qui lui avait demandé de venir à son bureau. Elle ou une autre, ça ne changeait pas grand-chose aux yeux du sous-directeur de la prison. La seule personne qui avait la possibilité de donner une autre dimension à une convocation au bureau des Aurors, c’était Dosia. Bizarrement, elle ne lui avait pas encore demandé de revenir, même si ça lui dirait bien lui. Aristide devrait peut-être s’inquiéter vraiment plus de toutes ces convocations, mais en même temps il fallait bien qu’il joue le jeu. S’il donnait l’air d’être trop stressé, d’être sur la défense, on allait croire qu’il était responsable. Bon, on allait comprendre qu’il était responsable. Quand il marcha dans les couloirs du bureau des Aurors, le jeune homme prit la peine de saluer quelques personnes, et presque tous ces Aurors lui lancèrent des regards noirs. Qu’est-ce qu’ils avaient un mauvais caractère franchement. Pile à l’heure, il frappa à la porte de l’Auror qui l’avait convoqué.

« Madame Crivey, ravi de vous rencontrer. » Il marqua une pause. « Ou Mademoiselle ? Excusez-moi, vous êtes mariés ? » Ajouta-t-il en s’installa comme elle l’invita à le faire. Le fait qu’elle soit mariée ou non n’avait évidemment aucune raison d’avoir une importance, mais il n’avait aucune malice en posant cette question. « Vous devez sans doute avoir des questions sur des criminelles qui se trouvait enfermés et qui… eh bien, ne le sont plus à cause de cet énorme trou dans le mur de la prison. » Reprit-il se donnant un faux air de tristesse. « Ou bien sur ces détraqueurs qui ont décidé de vivre leur vie loin de la prison ? » Encore une fois, il continua de jouer la comédie. « Je vous écoute. » Termina-t-il, croisant les bras et adressant un sourire à son interlocutrice.

Il n’était pas sur de la raison qui l’avait poussé à le convier au bureau des Aurors, mais il était sûr cependant qu’il allait très rapidement le savoir. Les Aurors n’étaient pas spécialement connu pour tourner autour du pot, surtout avec la tension palpable qu’il y avait en ce moment au ministère. Après tout, leur patron avait été écroué quand même,  ce n’était pas rien.  
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Faustine Crivey
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Message#Sujet: Re: La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33]   La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33] Icon_minitimeDim 15 Aoû - 19:13


La folie d'une personne est la réalité d'une autre.
 
F

austine ne prit pas la peine de répondre quoi que ce soit à son interlocuteur quand ce dernier lui posa la question classique du "madame ou mademoiselle". Pas que cela ait grande importance, mais la jeune femme n'avait pas particulièrement envie de s'épancher sur sa vie maritale (en l'occurrence inexistante), elle estimait que c'était hors de propos et que ça leur ferait perdre un temps qu'elle n'avait guère envie de consacrer à cela. A la place, elle préférait largement se concentrer sur ce qui donnait lieu à un tel entretien. Plus vite ils entreraient dans le vif du sujet, plus vite ils pourraient passer à autre chose, et ce serait très bien ainsi.

La jeune femme détestait ce genre d'entretiens, elle n'aimait pas spécialement le contact avec qui que ce soit, en réalité. Cela la mettait naturellement et instinctivement mal à l'aise, et très clairement, si elle le pouvait, elle se l'épargnerait avec le plus grand des plaisirs. Malheureusement, personne ne lui demandait véritablement son avis, en fin de compte. Elle devait faire avec, un point c'est tout, et donc c'était ce qu'elle faisait. Elle allait devoir demander des clarifications, des détails, en somme prendre du temps pour tout ceci, même si ça ne l'enchantait pas. Et donc, les ronds de jambe qui pouvaient être évités l'étaient forcément avec le plus grand des plaisirs.

Elle resta de marbre quand cet homme s'exprima avec la plus grande légèreté autant sur l'évasion des prisonniers que sur celle des détraqueurs. Un tel détachement devait forcément lui attirer des suspicions. Faustine savait que beaucoup le considéraient comme fou. Elle se méfiait d'une telle terminologie, avant tout et surtout parce qu'elle craignait de le devenir elle-même, folle, et avait parfois le sentiment de se rapprocher un peu trop de cette définition, malheureusement. Il n'empêche qu'avec un tel tempérament, il y avait de quoi se poser des questions. Ceci dit, elle n'était pas là pour ça, et même si sa curiosité professionnelle la poussait à vouloir en savoir plus au sujet de son interlocuteur, elle ne dirait clairement rien, elle estimait que c'était préférable. Elle devait compartimenter, et se focaliser sur ce qui l'intéressait vraiment.

-En ratissant aussi large vous pouviez être sûr d'avoir une bonne réponse au moins sur l'ensemble de vos question.
Elle marqua une pause. La finesse de vos déductions n'est pas ce qui motive votre présence ici. J'aurais besoin d'entendre votre opinion sur plusieurs des prisonniers qui se sont évadés. J'aimerais en savoir plus sur ce qu'était leur comportement en prison, notamment.

Elle lui tendit les trois dossiers qui étaient à sa charge : Anton Boyle, qui avait été incarcéré il y a dix ans pour avoir massacré violemment une famille de Moldus, Clara Broswell, qui avait été incarcéré trois mois auparavant pour torture sur un enfant de moldu, et enfin Jonathan Goyle, qui avait participé à l'attaque bien connue des neo-grindelwaldiens il y a trois ans de cela.
   


   
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Aristide Beurk
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Message#Sujet: Re: La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33]   La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33] Icon_minitimeSam 22 Oct - 14:13

La mort rapproche les gens... il paraît.
Aristide afficha un sourire amusé à la remarque de son interlocutrice, quand cette dernière souligna quand ratissant large sur les possibilités, il avait de forte chance d’avoir la bonne réponse. Le jeune homme n’avait pas l’intention de s’inquiéter concernant cet entrevu, ce n’était pas le premier qu’il avait avec un Auror, et ça ne serait surement pas le dernier. Au vu de la situation et de ce qui venait d’arriver à la prison, il allait sans doute devoir y passer un nombre incalculable de fois, surtout qu’il était quand même quelque peu dans la sauce.

Mais visiblement, cela n’avait pas réellement de rapport avec le trou dans la prison ou la fuite des détraqueurs, l’Auror sous ses yeux avait surtout besoin d’entendre son opinion sur plusieurs prisonniers. Ça c’était agréable, ça lui changeait quand même un peu. Et il avait toujours beaucoup de chose à dire sur les prisonniers d’Azkaban. La jeune femme le questionna donc sur leur comportement, tout en lui tendant trois dossiers.

« Laissez-moi voir. » Commença-t-il en prenant les dossiers des trois prisonniers, il s’agissait de Boyle, Broswell et Goyle. Ils n’avaient pas fait dans la démesure ces trois-là. L’un des trois était même déjà prison dans la prison avant que Aristide n’y rentre de son côté. Et les trois avaient une dent contre des moldus et un rapprochement certain envers une… façon de pensée commune. « Vous savez Miss Crivey, les comportements des prisonniers à Azkaban n’est pas forcément… éloquent, ils ont quand même tendance à vite devenir de sacré légume. » Aristide afficha un sourire à cette remarque, ils étaient là pour devenir des légumes sous l’influence des détraqueurs, il n’allait pas avoir de peine pour eux. En contradiction peut-être avec certaine de ses valeurs, parce que certains prisonniers avaient la même cause que lui, mais il s’en fichait tout bonnement. « Autant vous dire que Boyle qui était déjà là avant même que j’arrive à Azkaban n’a pas vraiment fait preuve d’un comportement particulier en ma présence. Au vu de son crime, il se trouvait dans une partie très surveillé de la prison et très… contrôlé par nos amis les détraqueurs. À part une masse noir au fond de sa cellule, je n’ai jamais rien vu le concernant. » Aristide tourna son regard vers un des dossiers. « Goyle était un peu plus vif, ça lui arrivait de parler un peu et de clamer haut et fort que Grindelwald était le plus grand des sorciers. » Aristide leva les yeux au ciel en soupire, comme si ce discourt était ridicule. « Broswell, quand on l’a admis dans la prison, a tenté de s’enfuir. Il a violement donné un coup de boule a l’un de nos gardiens et il s’est mis à courir dans le couloir. » Un grand sourire orna le visage de Aristide. « Enfin, vous vous doutez bien qu’on ne quitte pas la prison si facilement, avait l'énorme trou dans le mur bien sûr. Il n’a pas été bien loin avant de se retrouver recroquevillé entouré de détraqueur affamé. J’ai mis un temps fou avant de les calmer et leur faire attendre la prochaine condamnation au baiser ! »
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Message#Sujet: Re: La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33]   La folie d'une personne est la réalité d'une autre. [pv Aristide :33] Icon_minitimeDim 23 Oct - 9:15


La folie d'une personne est la réalité d'une autre.
 
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austine en même temps qu'elle tendait les dossiers des prisonniers évadés à son interlocuteur, guettait chacune de ses réactions. Oui, elle était intéressée par son opinion, mais elle savait également qu'il y avait souvent des choses bien plus intéressantes à tirer de ce que les personnes montraient que de ce qu'elles consentaient à dire, et elle tenait à y jeter l'oeil le plus attentif possible. Elle demeura impassible quand son interlocuteur affirma qu'il n'y avait pas grand-chose à déduire du sort de prisonniers qui devenaient progressivement des légumes au contact des détraqueurs... c'est certain, leur système pénitentiaire reposait sur des fondements absolument ignobles et cela n'avait l'air de déranger personne.

-Certains sont affectés plus que d'autres, observa simplement Faustine en portant un regard attentif sur son interlocuteur.

Le cas d'Aristide l'intéressait et l'intriguait tout naturellement, et pour cause, si lui-même avait fréquenté ces créatures ô combien obscures, il semblait s'en tirer très honorablement... dans la mesure du possible. Il était bien connu, dans le milieu, qu'Aristide Beurk n'avait pas toute sa tête, mais il avait tout de même suffisamment d'esprit pour lui parler et pour lui répondre, à côté de ça.

Elle prit note mentalement des informations que son interlocuteur lui présenta... ou de leur absence pour les cas où ces informations n'étaient pas particulièrement exploitables parce que les prisonniers qui étaient concernés étaient dans un sale état.

-Ces hommes n'étaient peut-être que des légumes, comme vous dites, ou proches de l'être, mais il est tout de même parvenu à s'évader, admettez que cela a de quoi intriguer.

Et largement intriguer, même. Comment était-ce seulement possible. S'il était vraiment un sorcier simplement reclus dans sa cellule, alors comment cela pouvait-il être seulement possible. Quelque chose lui échappait à coup sûr... et si c'était le cas, elle en était presque certaine, c'est parce que son interlocuteur lui dissimulait, à coup sûr, l'une ou l'autre chose.

-Vous admettrez que c'est étrange.
Elle marqua une pause. Et que vos informations ne me servent pas à grand-chose, ajouta-t-elle d'un ton las. Etant donné votre position et les soupçons qui pèsent à votre sujet, je m'attendais à ce que vous vous montriez plus coopératif.

Peut-être qu'il ne mentait pas, bien sûr. Mais Faustine décidait de rester sur ses gardes, malgré tout. Par la force des choses, elle n'avait pas confiance dans son interlocuteur. D'un autre côté, Faustine, sur le principe, n'avait pas confiance en grand monde, et c'était déjà plus de confiance qu'elle savait n'en accorder à elle-même en fin de compte. Elle était intriguée par le personnage qu'elle avait sous les yeux. Elle n'aimait pas ne pas être capable de cerner quelqu'un. Cerner les gens étaient son travail, après tout.
   


   
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