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 Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)

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Despina Beurk
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Message#Sujet: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeJeu 12 Nov - 13:28


C'était un miracle, un miracle comme elle n'en espérait plus. Elle avait envisagé tant de scénarios, elle avait imaginé tant de cas de figure, mais à aucun moment elle n'avait pensé que sa liberté dépendrait d'un concours de circonstance fortuit. Qui sait quels prisonniers on avait voulu faire libérer, elle se doutait qu'elle n'en faisait pas partie, mais ça lui était égal. Elle était libre, enfin.

La démarche la plus prudente aurait peut-être été de rester en prison. De faire preuve de bonne conduite et de bonne foi, pour montrer qu'elle était prête à endurer son sort et agir selon les règles... Peut-être, mais comment ne pas céder à la tentation d'une liberté dont on la privait depuis si longtemps ? Elle avait trop besoin de voir la lumière, elle avait trop besoin de... vivre, loin de l'emprise des détraqueurs qui, pour certains, pouvaient semble-t-il être partout, à présent.

Alors à bas la prudence. Dans tous les cas, et malgré les efforts des uns et des autres, elle doutait fort que son honneur et sa réputation puissent être restaurées. En revanche, elle, elle pouvait avoir un vrai pouvoir, celui de retrouver et d'aider son fils. Contre son propre gré tout d'abord, peut-être, mais peu importe. L'essentiel était de pouvoir le retrouver, le sauver de l'emprise néfaste d'un père qui avait réussi à le convaincre que la torture était la seule et unique solution, que la mort était la seule et unique issue.

Elle avait observé à distance les faits et gestes d'Orpheus. Finalement, elle avait trouvé ce que serait sa parade. Rarement mais quelques fois, Orpheus confiait son fils à une gouvernante plutôt qu'à ses parents quand lui-même était à Poudlard. Ce jour-là, elle avait intercepté la gouvernante en question juste à temps pour la stupéfixier grâce à une baguette achetée au marché noir, et avait pris son apparence grâce à du polynectar, qu'elle n'avait pu acheter qu'en faible quantité. Elle n'aurait qu'une heure, en tout et pour tout, pour endormir la confiance de son fils et l'inciter à partir, sous les traits d'une autre. Elle n'aimait pas manipuler Amos ainsi, mais elle n'avait pas trouvé d'autres solution.

Le plan avait fonctionné, Orpheus s'en allait sans deviner à qui il venait d'avoir à faire (et elle avait dû prendre sur elle pour ne pas lui refaire le portrait), et elle était à présent seule avec son fils, pour la première fois depuis une éternité.

Orpheus était parti avant le réveil d'Amos. Despina en profita pour reprendre ses marques en ces lieux qui lui avaient autrefois été un foyer, et prépara à son fils le petit déjeuner le plus royal. Quand il se réveilla enfin et la rejoignit, elle dut se faire violence pour ne pas le prendre dans ses bras. Oh, comme ça lui faisait du bien de le voir !


"Bonjour Amos. Tu as bien dormi ? Installe-toi, ton petit-déjeuner est prêt."

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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeVen 5 Fév - 19:29

Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Amos n’aimait pas cela. Il n’aimait pas quand son père le confiait à des femmes qu’il n’avait jamais vues. Il savait qu’il n’avait pas le choix, que depuis qu’il avait son nouveau travail, il était plus souvent occupé, et qu’il ne pouvait pas l’emmener chez ses grands-parents aux aurores, mais tout de même, Amos n’aimait pas que n’importe qui s’occupe de lui. Surtout qu’au final, il n’y avait pas grand-chose à faire, Amos savait être autonome, et s’occuper de lui tout seul. Enfin, à son sens.

Et puis, d’une manière générale, Amos aimait passer du temps avec son père, parce qu’il ne savait pas combien de temps cela allait encore durer. Ses pouvoirs ne s’éveillaient toujours pas et le temps continuait d’avancer. Amos avait peur, vraiment. Il faisait tout pour que ça marche, tout pour que son père soit fier de lui, mais il n’y arrivait pas, ça ne voulait pas. Et c’était encore pire à vivre depuis qu’ils étaient allés à Azkaban.

Une chose était certaine, Amos ne voulait plus jamais y mettre les pieds. C’était l’endroit le plus horrible qui soit, et il avait bien cru qu’il n’en sortirait pas vivant. Il ne savait pas comment son oncle pouvait travailler là-bas, comment son père pouvait s’y rendre aussi régulièrement. Quant à sa mère… Amos n’avait pas eu le désir de la voir de prime abord, et il n’avait pas plus envie de la revoir aujourd’hui. Elle était bien en prison, elle était dangereuse et elle lui faisait peur. Il savait qu’elle voulait le séparer de son père, et il était hors de question qu’une telle chose arrive. Coûte que coûte, il resterait avec lui, même en sachant ce qu’il risquait.

Amos avait été prévenu la veille, qu’une gouvernante allait s’occuper de lui aujourd’hui. Alors sachant qu’il ne retrouverait pas son père en bas, Amos prit tout son temps pour s’habiller, n’ayant aucune envie de devoir discuter avec cette femme. Il ne leur parlait jamais de toute façon, sauf de temps en temps pour répondre oui ou non. Il ne parlait pas beaucoup d’une manière générale, mais il arrivait à tenir une conversation avec son père, ses grands-parents, et plus rarement avec son oncle (parce qu’il avait tout de même un côté terrifiant aux yeux d’Amos).

Il enfila les vêtements qui avaient été préparés de la veille, et passa un coup de peigne dans ses cheveux, avant de descendre les escaliers de mauvaise grâce. Et en bas, il y avait bien une femme, au lieu de son père. Déjà que l’enfant n’était pas très gai, cela n’arrangeait rien à son état.

"Bonjour Amos. Tu as bien dormi ? Installe-toi, ton petit-déjeuner est prêt."

Il avait presque envie de répondre par un soupir, de déclarer qu’il n’avait pas faim (ce qui n’était pas faux, il avait un très faible appétit) et de remonter dans sa chambre. Mais c’était un comportement qui lui serait probablement reproché par la suite. Amos ne comprenait pas pourquoi il y avait autant de nourriture sur la table, elle pensait garder une dizaine d’enfants ? Peu importe, il s’installa sur une chaise.

« Bonjour. Je ne vais pas manger tout ça. »

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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeLun 8 Fév - 13:30


« Bonjour. Je ne vais pas manger tout ça. »

Le moins que l'on puisse dire, c'était que l'accueil qu'Amos réservait à sa mère n'était pas ce qu'il y a de plus chaleureux... en même temps, elle ne s'était pas attendu à grand-chose d'autre... Déjà, elle ne lui faisait pas peur, il ne prenait pas ses jambes à son cou, il lui adressait la parole, ce à quoi elle n'aurait sans doute pas eu droit si son fils avait su à qui il avait affaire.

Même si ce n'était pas grand-chose, juste quelques mots prononcés sans enthousiasme, elle ne devait pas oublier qu'au moins, elle pouvait passer du temps avec lui, et elle comptait bien en savourer chaque seconde. Quel supplice, tout de même, de ne pas tout simplement pouvoir le serrer contre lui. Jouer la comédie, prétendre être une autre, lui était difficile dans ces circonstances. Pour renouer avec lui, elle devrait se présenter à lui telle qu'elle était, elle le savait bien. Mais en attendant, elle ne serait jamais capable de l'approcher si elle n'utilisait pas la ruse.


"Je n'ai jamais dit que tu devais tout manger, ce serait une très mauvaise idée, d'ailleurs", répondit Despina, qui refusait catégoriquement que le comportement de son fils entame sa bonne humeur. "C'est bien d'avoir le choix, non ?"

Elle aurait aimé voir ses yeux briller de gourmandise en voyant la quantité de nourriture posée sur la table, elle aurait voulu qu'il la remercie pour tous les efforts qu'elle avait fournis dans l'espoir de le rendre heureux, mais elle savait que si, un jour, elle devait obtenir de la gratitude de sa part, il faudrait qu'elle s'arme de la plus grande patience, c'était ainsi. Cela ne lui plaisait pas complètement, mais il fallait bien qu'elle l'accepte ainsi malgré tout.

Elle ne lui reprocherait pas de se comporter de la sorte dans tous les cas. En même temps, elle ne considérait pas qu'il soit responsable, non. Il n'y avait qu'une seule personne à blâmer en la circonstance, et c'était clairement Orpheus. Il lui avait broyé l'âme, il l'avait dépossédé de son énergie, de sa joie de vivre... Des détraqueurs n'auraient sans doute pas fait un meilleur travail, à ce compte. Et elle s'y connaissait, malheureusement, en détraqueurs, à présent.


"Comment tu vas, dis-moi ? Qu'est-ce que tu as envie de faire ce matin ?"


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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeVen 28 Mai - 11:18

Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
D’accord, Amos avait conscience de ne faire aucun effort, et de presque être volontairement désagréable envers cette femme, mais il ne voyait pas pourquoi il devrait se forcer à être aimable, et gentil. Il n’était pas particulièrement ravi de la situation, loin de là en réalité, et il n’aimait vraiment pas être gardé par des inconnues, mais il savait bien qu’il n’avait pas le choix, et qu’il devait faire avec. Ce n’est pas pour autant qu’il allait afficher un sourire jusqu’aux oreilles et être le plus enthousiasme du monde, ce serait trop lui demander, et de manière générale, il n’était même pas certain d’en être capable.

Cela contrasterait beaucoup trop avec son caractère habituel. Quoiqu’il en soit, il n’avait pas non plus l’intention d’agir comme une teigne, mais il n’avait pas spécialement l’intention de faire des efforts de socialisation, et espérait intérieurement que cette situation passerait le plus vite possible. Même si c’était rarement le cas. Il aurait préféré aller chez ses grands-parents, ou même à la boutique de son grand-père. Définitivement.

"Je n'ai jamais dit que tu devais tout manger, ce serait une très mauvaise idée, d'ailleurs. C'est bien d'avoir le choix, non ?"

C’est vrai, elle ne lui avait jamais dit de tout manger, mais Amos avait juste envie de se montrer sur un jour qui n’était pas le meilleur. Ce n’était pas très important, surtout dans son esprit d’enfant. Il allait picorer quelques choses, et cela irait bien. Il n’était pas un gros mangeur, et se sentait vite calé, très vite, alors le petit déjeuner allait être rapide. Sans doute devrait-il la remercier d’avoir préparé tout cela, mais c’était son travail après tout non ? Et puis, il y avait de grandes chances pour que ce soit l’elfe de maison, qui ait fait tout ça. Au final, il se contenta de hocher mollement la tête, et d’attraper un bout de brioche, pour la grignoter du bout des dents.

"Comment tu vas, dis-moi ? Qu'est-ce que tu as envie de faire ce matin ?"

Amos haussa les épaules, il n’avait rien envie de faire en particulier. En général, il s’occupait tout seul, ou attendait tout simplement que le temps passe. Si la femme s’attendait à ce qu’il lui fasse la conversation, elle allait être rapidement déçue, cependant. Amos n’était pas très loquace, alors il espérait pour elle qu’elle avait de quoi faire la conversation toute seule, parce qu’il ne relancerait pas grand-chose, et se contenterait de réponses brèves, et évasives, comme il le faisait la plupart du temps, en présence de ceux qu’il ne connaissait pas vraiment, ou qu’il n’avait pas envie de voir.

« Je ne sais pas, rien de particulier. »

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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeLun 31 Mai - 12:40


Bon, le coup du petit déjeuner, c'était un échec, mais Despina ne perdait pas espoir pour autant. Elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour juste... le voir sourire, et lui apporter du bonheur. Elle avait tant d'années à rattraper le concernant... Elle avait envie de faire les choses correctement, elle avait envie de faire les choses bien.

Peut-être qu'elle en faisait trop, mais en même temps, elle savait que l'occasion qu'elle saisissait pourrait très bien être brève et rapidement mise en difficulté, alors devait faire de son mieux. Au moins, il acceptait de grignoter un morceau, tant mieux. Despina avait tendance à le trouver maigrelet, elle n'était pas sûre qu'Orpheus le nourrisse vraiment convenablement...

Il pourrait rivaliser avec elle quand elle était sous sa véritable apparence, mais en ce qui la concernait, c'était normal. Elle avait été affamée à Azkaban pendant des mois et des mois, alors quelque part, c'était parfaitement naturel.


« Je ne sais pas, rien de particulier. »

Il n'avait pas échappé à Despina que son fils n'avait pas répondu à sa question quand elle lui avait demandé comment il allait. Et ça, ça ne la rassurait pas du tout. Devait-elle lui reposer la question ?

Elle était tentée, à vrai dire, mais ce ne serait pas forcément une bonne chose, elle aurait l'air suspecte, et elle ne se retrouverait pas forcément moins confrontée à un autre mur. Si elle voulait regagner sa confiance, il fallait qu'elle y aille progressivement... même si se faire passer pour quelqu'un d'autre n'était pas la meilleure manière de s'y prendre, elle en convenait.

C'était comme pour tout le reste, elle considérait ne pas avoir trop le choix. Elle faisait avec les moyens du bord, par conséquent. Et face à l'absence évidente d'enthousiasme d'Amos, elle était bien décidée à insister. Il ne le savait pas encore, mais elle réussissait à lui rendre le sourire, et l'insouciance et la joie de vivre qu'un enfant de son âge devrait logiquement ressentir plutôt que de se laisser emprisonner par les attentes de ses pairs.


"Et si on sortait un peu ? J'ai entendu dire que la météo devrait être au beau fixe, ça pourrait être l'occasion d'en profiter, tu ne penses pas ? On pourrait aller sur le chemin de traverse, par exemple ?"


Surtout, s'éloigner de cette maison, lui donner une occasion de s'en aller en compagnie de son fils sans avoir besoin de l'"enlever".



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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeVen 19 Nov - 9:39

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Amos n’était peut-être pas très conciliant, mais en même temps, il ne voyait pas pourquoi il devrait se montrer particulièrement enthousiasme, ou feindre d’être content de la présence de sa nourrice. C’était juste une nourrice, et il ne gardait jamais la même, elles se succédaient sans qu’il y prête une grande attention. Et si ça ne tenait qu’à lui, il aimerait s’en passer.

Il n’était pas certain d’avoir besoin d’une nourrice, l’elfe de maison pouvait se contenter de le nourrir, et de lui fournir ce dont il avait besoin. Il n’avait pas besoin d’une femme. Mais son père lui collait à chaque fois une nourrice, et il savait bien que depuis que sa mère s’était enfuie de la prison, il voulait le garder en sécurité, mais il voyait mal ce qu’une nourrice pouvait faire contre sa mère… enfin bon. Il espérait bien n’avoir jamais à le savoir.

Evidemment, depuis qu’il savait qu’elle s’était évadée, il craignait qu’elle vienne le chercher, qu’elle cherche à le kidnapper. Il n’avait pas envie qu’elle le sépare de son père, et il n’avait vraiment pas envie qu’elle ne l’emmène il ne savait où, et qu’on ne puisse pas le retrouver. Il était peut-être un peu trop parano, mais il préférait s’attendre au pire, quitte à être totalement rassuré par la suite, mais il espérait vraiment qu’ils finiraient par la retrouver.

"Et si on sortait un peu ? J'ai entendu dire que la météo devrait être au beau fixe, ça pourrait être l'occasion d'en profiter, tu ne penses pas ? On pourrait aller sur le chemin de traverse, par exemple ?"

Amos n’avait vraiment aucune envie de sortir. Qu’il fasse beau ou non, cela importait peu. Il n’aimait pas spécialement passer son temps dehors, et encore moins avec une inconnue. Il préférait rester ici, à l’abris. Il se moquait bien de rester enfermé toute la journée dans cette grande demeure. C’était sa maison, et il s’y sentait bien. Il s’y sentait protégé, surtout en l’absence de son père, même si cette donnée était tout de même bien présente dans l’esprit du garçon. La femme allait peut-être penser qu’il faisait exprès de se montrer le plus désagréable possible, mais ce n’était pas grave. Même si ce n’était pas le cas, il se moquait qu’elle le pense, il ne lui devait rien après tout.

« Non, je n’ai pas tellement envie de sortir. Je préfère rester ici. »

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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeLun 22 Nov - 13:12


« Non, je n’ai pas tellement envie de sortir. Je préfère rester ici. »
La réponse d'Amos serrait le coeur de Despina, mais elle ne pouvait pas prétendre, en revanche, en être réellement surprise, c'est bien le problème.

A une époque si lointaine qu'Amos l'avait peut-être oublié, quand il n'était pas question de se demander s'il était un sorcier ou non, quand le couple Beurk, alors marié et heureux, était convaincu du fait que, tout naturellement, leur fils rejoindrait Poudlard quand il en aurait l'âge, il avait eu une vie douce et innocente.

Combien de promenades avaient-ils faites au grand air ? Ils se promenaient, ils profitaient... Amos était adorable, enthousiaste, joueur... C'est comme s'il n'avait plus du tout le même caractère qu'autrefois. Ou bien c'était elle qui l'idéalisait ? Elle l'avait vu deécliner, petit à petit... Et voir le résultat des erreurs d'Orpheus, mais aussi de ses propres erreurs... ça lui faisait du mal.

Elle avait envie d'obliger Amos à la suivre contre son gré. Une fois sur place, il verrait bien qu'au final, il serait heureux de profiter du beau temps et de l'air frais (sans compter qu'il fallait qu'elle parvienne à quitter cette maison avant que le polynectar cesse de faire effet). Mais si elle le brusquait, tout risquait de partir à néant. C'était sa chance, elle ne devait pas la gâcher, et elle ne voulait pas traumatiser Amos plus qu'il ne l'était déjà. Sauf qu'il faudrait bien un choc initial pour réussir ensuite à lui permettre de tourner la page.


"D'accord, on va rester, alors"
, consentit-elle à répondre, pas parce que c'était totalement son attention que de laisser la situation telle qu'elle était, mais parce qu'elle n'avait pas envie de brusquer Amos.

Elle n'avait pas beaucoup de temps devant elle, malheureusement, mais elle ne comptait pas précipiter les choses pour autant. C'était de toute manière tout à fait injuste qu'elle doive ainsi se plier aux circonstances, et que ces circonstances soient si délicates et complexes, quand on savait que le vrai responsable de toute cette affaire était bien évidemment (et bien injustement) celui qui s'en sortait bien sûr le mieux.


"Qu'est-ce que tu voudrais faire, si on reste ici ?"
demanda-t-elle en cherchant toujours à se montrer aussi douce et conciliante que possible, bien décidée à gagner des points auprès d'Amos.

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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeSam 7 Mai - 11:37

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Amos n’avait toujours aucune conscience que la femme qui se tenait en fait devant lui était sa mère. Il n’avait aucun moyen de le deviner. Et puisque son père l’avait laissé à cette femme, c’est qu’elle devait être sûre, mais ce n’était pas pour autant que sa présence lui faisait plaisir, ou qu’il avait envie de se montrer agréable avec elle. Elle ne lui avait rien fait, et elle ne méritait pas forcément le comportement qu’il affichait, mais Amos avait du mal à se soucier des sentiments des autres dernièrement. Il était préoccupé, inquiet, de ce qu’allait être la suite de sa vie. Il n’avait toujours pas de pouvoirs magiques, et ses onze ans approchaient. Son père n’avait pas perdu espoir, la preuve était qu’il était toujours en vie, et mine de rien, cela donnait du baume au cœur du garçon, mais il avait tout de même vraiment envie que les choses finissent par s’améliorer, et qu’il puisse enfin faire la fierté de son père.

Enfin bon, pour l’heure, il pouvait juste patienter, et espérer. C’est ce qu’il faisait tous les jours, et il espérait qu’au bout d’un moment, tous les efforts fournis finiraient par payer. Amos ne voulait vraiment pas être un cracmol, il voulait être un sorcier comme son père. Il le voulait plus que tout. Mais pour le moment, cela ne suffisait pas de le vouloir, mais il savait que si quelqu’un pouvait trouver quelque chose, c’était son père. Alors il lui faisait confiance pour arranger les choses.

"D'accord, on va rester, alors"

Amos n’avait pas envie de sortir, il était bien ici, chez lui. Et il ne voulait pas en bouger si c’était pour aller se promener. Il n’aimait pas vraiment se promener sans but, sauf si c’était en compagnie de personnes qu’il appréciait, mais elle, c’était juste sa nourrice pour la journée, et il ne la connaissait pas, alors il ne pouvait pas prétendre l’apprécier. Mais au moins, elle n’essayait pas de le forcer, ou de le convaincre, et Amos appréciait cela.

"Qu'est-ce que tu voudrais faire, si on reste ici ?"

Amos n’était pas un enfant hyperactif, qui avait constamment besoin d’être occupé par quelque chose. D’ailleurs, il savait très bien s’occuper par lui-même, mais il n’était plus si petit que ça. Et il avait vécu tellement de choses qu’il se pensait plus mature que les autres enfants de son âge. Mais à dire vrai, il connaissait très peu de personnes de son âge, alors il ne pouvait pas vraiment vérifier sa théorie. Il verrait bien à Poudlard.

« Je ne sais pas, je sais m’occuper tout seul si besoin. Vous n’avez pas besoin de vous sentir obligée de faire quoi que ce soit avec moi. »

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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeVen 27 Mai - 14:07


« Je ne sais pas, je sais m’occuper tout seul si besoin. »

C'était terrible pour Despina de voir Amos ainsi. Bien sûr, avant même son emprisonnement, il n'était pas beaucoup différent, les diverses expériences d'Orpheus avaient déjà entamé ses expériences. C'était comme si, pour faire d'Amios ce qu'il devait être, il fallait le déparer de tout ce qui avait fait de lui qui il était, et c'était douloureux à observer.

Afin de réparer tout le mal qui avait été causé, il allait falloir beaucoup de temps, de patience et d'énergie. Peut-être plus de temps, de patience et d'énergie, qu'elle n'en avait à sa disposition après tous ces efforts... mais pour le bien de son fils, la prunelle de ses yeux, Despina ferait ce qui devait être fait, et elle ne laisserait rien l'arrêter. C'était compliqué, c'était difficile de le voir ainsi, mais elle arriverait à le rendre heureux, à lui faire prendre l'ampleur de ses possibilités, à lui faire comprendre qu'il pourrait tout être, tout faire et tout devenir s'il le décidait.


« Vous n’avez pas besoin de vous sentir obligée de faire quoi que ce soit avec moi. »

"Eh bien c'est dommage que je sois pourtant obligée de rester à tes côtés puisqu'on me paye pour ça", répliqua Despina.

Elle devait garder pour elle la douleur que représentait le fait de ressentir que son fils ne voulait pas de sa compagnie. Certes, il ne savait pas qu'il était en compagnie de sa mère (mais sans doute serait-ce pire, en vérité, si elle en avait la conscience)... il n'empêche que ce sentiment de rejet de la part de celui pour qui elle se sentirait capable de tout faire, ce n'était pas des plus simple, vraiment pas.

"Tu sais peut-être t'occuper seul, mais moi, je n'ai pas envie de m'ennuyer, alors ne t'en déplaise, nous allons faire quelque chose ensemble."

Elle se devait d'insister. C'était loin de lui plaire, bien sûr, mais c'était nécessaire. Et elle espérait réussir à faire en sorte qu'Amos l'apprécie, tôt ou tard, ne serait-ce qu'un tout petit peu.

"Il y a bien des jeux que tu aimes bien, non ?" suggéra-t-elle alors, bien décidée à mener la conversation jusqu'au bout.




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Message#Sujet: Re: Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos)   Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre. (Amos) Icon_minitimeVen 26 Aoû - 12:12

Ôter une mère à son fils, c'est lui ôter plus qu'on ne peut lui rendre
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Amos ne se montrait pas très conciliant, mais il ne voyait pas pourquoi il devrait se forcer pour une nourrisse. Elle avait probablement à cœur de bien faire son travail, mais elle n’était pas obligée de le coller toute la journée. Amos n’était plus un bébé, il savait très bien se débrouiller seul, et il n’avait en aucun cas besoin qu’on lui tienne la main. Mais bon, ce n’était probablement pas quelque chose que cette femme allait aimer entendre.

Mais ce n’était pas vraiment son problème. Evidemment, il n’avait pas envie qu’elle dise à son père qu’il s’était mal comporté, mais il ne faisait rien d’autre que dire la vérité. Il n’avait pas besoin qu’elle reste près de lui toute la journée, il pouvait très bien s’occuper sans l’aide de personne. Amos n’était pas un garçon très sociable, alors la solitude lui convenait parfaitement, et encore plus si cela pouvait lui éviter de rester en compagnie de personnes qu’il ne connaissait pas.

"Eh bien c'est dommage que je sois pourtant obligée de rester à tes côtés puisqu'on me paye pour ça"

Elle était surtout payée pour le garder, pas pour le suivre comme son ombre. Bon, du haut de ses dix ans, Amos n’avait pas toutes la subtilités de la profession de nourrice, et il s’en fichait assez pour tout dire, mais peu importe, il ne comptait pas débattre du sujet avec cette femme. Il pouvait très bien faire comme bon lui semblait, peu importe ce qu’elle pourrait dire. S’il allait s’enfermer dans sa chambre, elle n’allait tout de même pas défoncer la porte pas vrai ?

"Tu sais peut-être t'occuper seul, mais moi, je n'ai pas envie de m'ennuyer, alors ne t'en déplaise, nous allons faire quelque chose ensemble. Il y a bien des jeux que tu aimes bien, non ?"

Elle ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire, et même si Amos n’était pas emballé, il n’avait pas envie de gaspiller d’énergie à lui tenir tête durant des heures. Peut-être que s’il faisait une activité avec elle, elle le laisserait tranquille par la suite, il pouvait toujours espérer que cela se passe comme ça, en tout cas. Il poussa un léger et soupire, et haussa les épaules, pour dire qu’il voulait bien faire quelque chose avec elle.

« J’aime bien les échecs. »

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