Aimer est le verbe le plus difficile à conjuguer. Son passé n’a jamais été simple. Son présent est imparfait. Son futur sera toujours conditionnel. Aimer n'est qu'une idiotie. → Aimer. Ce simple mot me donne des frissons. D’horreur et non d’envie. D’une peur sourde et profonde qui me tétanise et me refroidie toute entière. Je ne veux pas aimer. Tomber amoureuse. Ce simple terme est ridicule, je trouve. Comment savoir lorsque nous sommes vraiment tombés amoureux, dites-moi ? Parce que son regard vous obsède jours et nuits ? Parce que son visage hante vos rêves, vos cauchemars, et même vos journées ? Parce que en sa présence votre cœur se met à battre plus vite, vous avez du mal à soutenir son regard et braise, et vos mains se mettent à trembloter telles des feuilles au vent ?
Dans ce cas je suis perdue. Irrémédiablement. Tomber véritablement amoureuse m’a toujours effrayée, parce que cela signifiait la perte de mon indépendance, la perte de ma libre pensée. Passer des jours entiers l’esprit préoccupé par une même personne n’a rien de bien réjouissant je trouve. Ne voir que par lui, ne penser que par lui, ne vivre que pour lui. Affreux. Et puis l’amour, je trouve que c’est une malédiction. Nous finissons toujours par souffrir à un moment ou un autre. Et ça ne dure jamais éternellement, pas comme dans Roméo et Juliette. Seules les idiotes naïves s’y laissent prendre. Moi je n’y crois pas. Je m’étais même protégée de tout sentiment se rapprochant de près comme de loin à l’amour, fermant mon cœur à dix milles tours, et jetant la clé au loin. Le sort est bien ironique, et bien cruel je trouve. Moi, celle qui se dit asociale, pas intéressée par de telles futilités, je me suis pourtant faite attrapée par les filets de cet amour maudit. Pauvre de moi. Ma précieuse clé a été découverte. Et mon cœur pris en otage.

Manfred n’a pourtant toujours été pour moi qu’un simple ami. L’un de mes très rares amis d’ailleurs. Avec son frère, Noah. J’ai rencontré les deux jumeaux alors que je n’étais qu’une gamine naïve et écervelée. Nous vivons non loin l’un de l’autre, un grand parc se trouvant sur le chemin menant à nos deux maisons. Je les ai rencontrés dans ce fameux parc dans lequel je passais souvent des heures et des heures à lire des livres et à admirer la flore. Nous étions de bons amis, jouant à la marelle, à cache-cache, et à de nombreux autres jeux moldus qu’ils m’ont appris. Mais le temps passe tellement vite, et bientôt j’étais en âge de partir à Poudlard. J’étais triste, bien sûr. Là-bas je serais toute seule, loin de ces deux petits garçons avec qui je me sentais si bien, si vivante, si moi, tout simplement. Mais je devais partir.
Et là-bas, un choc m’attendait. Manfred aussi était un sorcier, et je le retrouvais à Poudlard. Mais il n’était pas pareil. Déjà le petit garçon gai et plein de vie que j’adorais commençait à se transformer en le Manfred d’aujourd’hui. Violent. Sauvage. Sombre. Triste. Différent. Tellement différent. Mais malgré tout, il était mon Manfred. Même s’il ne voulut plus me parler pendant de longues semaines en comprenant que je lui avais caché ma nature de sorcière. Même si l’absence de Noah le rongeait de l’intérieur, faisant de lui celui que tous croient connaître. Mais moi seule sait qui il est vraiment. Comment il se comporte dès le retour à Londres. La beauté de son sourire lorsqu’il est vraiment sincère. L’étincelle dans ses yeux lorsqu’il est vraiment heureux. La façon dont ses cils un peu trop longs, un peu trop épais, font ressortir ce petit quelque chose en plus qu’il a dans le regard.

Je l’aime. Je le hais. Je l’adore. Je le déteste. Je le maudit.
Je n’arrive plus à rien lorsqu’il est dans les parages. Mon esprit s'embrume, se perd. Je ne sais jamais ce qu’il pense vraiment ni ce qui le pousse à faire telle ou telle chose. Je ne le comprends pas, et cela ne m’arrive jamais. Je ne peux expliquer son comportement, ni le miens d’ailleurs.
Pourquoi lui ?
Pourquoi être tombée amoureuse de lui ?

Je ne sais plus rien.
Et cela me fait mal.
Pourquoi?

Tom Jedusor est sans doute la personne m’intriguant le plus dans cette école. Il de loin l’élève le plus populaire et aimé de Poudlard, sauf par quelques cas exceptionnels, et il semble toujours ouvert aux discussions, même avec les élèves des autres maisons. C’est l’un des rares serpentard qui ne semble pas avoir de problèmes avec les autres sangs. Je dois avouer que j’éprouve un certain respect pour lui : il réussit sans difficultés à faire croire ce qu’il veut à qui il veut, et c’est l’un des élèves les plus brillants de Poudlard. Je me serais presque laissée abusée par son apparence toujours sociable, si je ne m’étais pas rendu compte d’une chose : personne ne peut être aussi parfait. Nous avons tous des défauts, et je ne vois pas pourquoi lui n’en aurait pas. J'ai l'étrange impression qu'il répète constamment un rôle, que ce qu'il dit n'est que comédie. Mon instinct ne me trompant que rarement, je n'ai aucune confiance en lui.

De plus, certaines personnes semblent le craindre et le respecter à un point que ça en devient étrange, c'est un élève brillant et très populaire, certes, mais personne ne peut être autant adoré. Il est un peu effrayant, je dois l’avouer, mais je suis bien décider à découvrir celui qu’il est vraiment.
Je ne suis pas dupe, ma manière d’enquêter jusqu’à présent n’a pas été très fine. J’ai posé les mauvaises questions à son bras droit, Daniel, alors Tom est obligé de savoir que j’enquête sur lui, mais ce n'est pas pour autant que je vais m'arrêter, ça non.

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Petit frère de coeur et Moulin à paroles → De tous mes proches, Chris est le plus privilégié, le plus spécial si je puis dire. Il est la seule personne que je connaisse qui n’est pas la cible de ma curiosité mal placée ou de mes questions, pour la bonne raison que je le connais déjà par cœur et qu’il est bien plus qu’un ami ou qu’un camarade pour moi : il fait partie de ma famille. Je connais Chris depuis ma naissance, j’avais cinq ans à cette époque là. En fait, ses parents et les miens sont amis depuis de longues années, aussi nous allions souvent chez eux et eux chez nous. Je l’ai connu bébé, c’est pourquoi je le considère comme un petit frère. Je jouais tout le temps avec lui, et j’adore ses parents.
Vous comprenez donc que notre relation soit différente. J’éprouve le désir, le besoin de le protéger quoi qu’il m’en coûte. Bien sur il a des défauts, tout un tas, par exemple il parle trop, beaucoup beaucoup trop, mais cela ne me dérange pas. Car Chris est Chris et que je l’aime comme un frère. Je peux donc supporter tous ses défauts sans problème.

Il est enfin rentré à Poudlard, et j’en suis heureuse car je peux le voir plus souvent. Mais malheureusement, et à ma grande peine, sa mère et morte... J’ai beaucoup pleuré à l’enterrement, mais mon cœur souffre aussi pour Chris qui vient de perdre sa mère. Je veux être là pour l’aider à supporter cette dure épreuve, rester à ses côtés pour qu’il ne se renferme pas sur lui-même ou change à cause de la douleur. Je vais d’ailleurs lui parler régulièrement afin de lui montrer qu’il peut se reposer sur moi s’il va mal, et pour vérifier que tout va bien.

Tout cela doit sembler niais et détonnant vu mon caractère. Il est vrai que normalement, je n’ai pas ce genre de relation, je ne suis pas si sensible et altruiste. Mais comme je l’ai déjà dit, Chris est L’exception qui change tout. Je ne permettrais pas qu’on lui fasse du mal. Je ne le laisserais pas seul.

Mon précieux épervier → Notre rencontre n’est pas ce qu’il y a de plus banal, bien au contraire. Ce jour-là j’étais tranquillement en train de me promener en forêt, juste pour le plaisir de sentir la puissance de mon corps, le vent dans mon pelage dû à la vitesse de ma course, les millions d’odeurs plus uniques les unes que les autres de la forêt… Comme vous l’aurez sans doute compris, je n’étais pas sous ma forme humaine. Sinon quoi, je n’aurais pas parlé de pelage. Mais bien sous ma forme de louve, gambadant joyeusement et sereinement jusqu’à ce qu’un petit rigolo d’épervier vienne me narguer en volant en rase motte juste devant mon nez… Mon museau, pardon. Autant dire que je n’ai pas apprécié, je suis une louve tout de même, j’ai ma fierté, et je n’avais pas l’intention de le laisser se moquer de moi plus longtemps. Du coup je me suis mise à le courser. Mais c’est qu’il était rapide le petit !
Je n’ai appris que plus tard que ce piaf agaçant n’était autre que Luka, un de mes camarades de Serdaigle. Notre statut d’animagus nous a tout de suite rapprochés, et depuis nous passons de longues heures à parler de nos sensations en tant que tel, de ce qui fait que nous aimons tant la forêt, la nature, la liberté… J’aime beaucoup ces moments privilégiés que nous passons tous les deux, car il est le seul à connaître mon secret et à pouvoir comprendre ce que je ressens. Il est ce qui se rapproche le plus d’un confident pour moi, ce qui est un titre plus qu’honorable étant donné le nombre limité de personnes appartenant à « mon cercle d’amis ». Je l’apprécie vraiment, et c’est de même de son côté, même si nous n’avons pas tant de contacts que cela au dehors des moments où nous nous baladons en forêt, et que je n’avouerais pour rien au monde ce que je pense vraiment. Trop fière ou trop peureuse, je ne sais pas, mais je suis satisfaite de notre relation, elle est très bien comme elle est il n’y a donc pas besoin d’y rajouter quoi que ce soit. Profitons-en tant que ça dure.
De plus, Luka est un garçon très doué pour faire traîner ses oreilles un peu partout, aussi connaissant mon insatiable curiosité il n’est pas rare qu’il me raconte tout ce qu’il a appris de nouveau et d’intéressant. C’est ce point qui nous différencie le plus : autant je suis curieuse de toute chose, autant lui s’en contrefiche au plus haut point.

Reine des échecs → Lysandre est une amie très précieuse pour moi. Je l’ai rencontré à la bibliothèque alors que je lisais un énième bouquin sur ma place habituelle tout au fond, à l’écart. Elle était là, et au lieu de lire, échafaudait des stratégies d’échec magique. J’ai tout de suite été attirée par son talent en la matière, cette fille est vraiment brillante ! Bon je ne peux pas dire que j’ai tout compris à ses manœuvres car il est  vrai que, malgré le talent de déduction que j’ai et ma patience, je n’ai jamais aimé les échecs. Enfin si je les aime, lorsque je regarde des joueurs faire des duels acharnés, mettre en œuvre stratégie sur stratégie. C’est passionnant. Mais moi-même je n’aime pas cela, ne me demandez pas pourquoi, je n’en ai aucune idée.

J’ai donc rencontré Lysandre ainsi, et nous avons sympathisés. Cette jeune fille est très timide, mais lorsqu’on réussit à l’approcher, elle devient encore plus intéressante. Je l’apprécie donc beaucoup, au contraire de sa jumelle, Melody. Oh ne me parlez pas d’elle, j’ai même du mal à comprendre qu’elles soient jumelles tant leur caractère est différent. Lys’ n’arrête pas d’essayer de nous rapprocher mais ça n’a aucuns résultats, et n’en aura jamais. Je n’aime pas Melody, un point c’est tout.

J’ai tout de même quelques soupçons à l’égard de Lys’. Les regards ne trompent pas, je la voie parfois regarder le petit ami de sa sœur d’une manière qui me donne pas mal de soupçons… Mais cela ne change rien au fait qu'elle est l'une des personnes que j'apprécie le plus dans l'école.

Elève préférée → J’ai rencontré Laury par hasard alors qu’elle essayait de réussir le Wingardium Leviosa. Etant dans un bon jour, et voyant qu’elle n’y arrivait pas, j’ai décidé de lui venir en aide. Cette petite poufsouffle m’a plu, car elle ne s’est pas plain une seule fois, continuant encore et toujours à s’entraîner jusqu’à la réussite. Je savais déjà que je voulais être professeur de sortilège, mais cette expérience ne m’a que plus assurée dans ma décision. Lorsque Lauraleen à réussit, j’ai ressentit une immense fierté, en même temps pour elle que pour moi. J’étais heureuse d’avoir réussit à lui enseigner ce sort.
Après nous avons partagés un repas ensembles, parlant de nos vis respectives, oh combien différentes. Elle enfant de moldue, moi sang pur, elle généreuse et douce, moi asociale et froide... Cette petite à réussi là ou presque tout le monde à échoué, elle a attendri mon cœur et à gagné mon affection. Je l’apprécie beaucoup, et j’aime lui donner des cours particuliers. D’ailleurs, cela est donnant donnant, puisqu’elle apprend plus vite et moi je m’entraîne à mon futur métier.

Camarades d'études → Miyria et moi avons un lien positif. En effet, nos nombreux points communs nous ont rapprochés : elle aime étudier, lire, et passe beaucoup de temps à la bibliothèque. C’est là d’ailleurs que nous nous sommes rencontrées pour la première fois. Le fait qu’elle soit à Serpentard ne change rien à notre relation, d’abord parce que je me fiche des Maisons elles ne font pas le caractère ; mais aussi car elle se tient à l’écart de ses autres camarades, sauf Pomona. De plus, Miy’ est elle aussi une asociale qui n’a que peu d’amis, même moins que moi. J’aime étudier en sa compagnie, elle a l’esprit vif et aiguisé et est vraiment très intelligente. Heureusement elle semble bien moins curieuse que moi, ce qui évite de perpétrer le lien que j’ai avec Pomona, cette rivalité certaine qui empêche sans doute une grande amitié.

Tu réveilles mon âme d'enfant → Yseult est une jeune personne que j’apprécie et avec qui je passe de bons moments. Notre amitié s’est faite naturellement, et étrangement avec elle j’ai l’impression d’avoir une âme d’enfant : batailles de boules de neiges, chasse des œufs de Pâques... Nous sommes camarades de jeu dès que l’occasion se présente, notre amitié est sans plus mais est tout de même bien existante. Aussi j’aime passer du temps avec Yseult sans avoir à me poser des questions.

Depuis quelques temps, Ys’ semble avoir perdu toute joie de vivre. Je ne comprends pas ce qui a pu provoquer un tel bouleversement du jour au lendemain, mais ce qui est sur est que ce n’et pas naturel. Je ne vais pas rester bras croisés et je pense essayer de glaner des informations par ci par là notamment chez ses meilleurs amis quoi doivent bien savoir quelque chose. Ma curiosité est piquée au vif, mais je suis aussi inquiète pour elle. En espérant que cela ne soit pas trop grave, car je n’ai pas l’intention d’enquêter seulement pour mon plaisir personnel, mais aussi car je veux l’aider : c’est l’une de mes rares amis après tout, je ne peux regarder sans agir !

Mon ami est innocent → Hagrid, le semi-géant renvoyé il y a quelques temps de Poudlard... Il a un an de moins que moi et est accusé d’avoir tué Myrtle McGrow, pourtant c’est impossible ! Je sais que ce n’est pas dans mes habitudes d’être si catégorique sur quelque chose sans avoir de preuves tangibles, mais je ne pense pas que Hagrid soit coupable.
En effet, plusieurs choses penchent en sa faveur. Déjà, le professeur Dumbledore l’a réembauché, et ce grand sorcier n’aurait pas fait venir un meurtrier à Poudlard. Ensuite, j’ai appris à connaître Hagrid, et je ne pense pas qu’il soit capable d’une telle atrocité.
Dès son retour en tant que garde chasse, j’ai décidé de me rapprocher de lui afin d’en apprendre plus sur cette affaire. Il est vrai que je ne faisais cela que pour les informations, et je n’aurais jamais imaginé m’attacher vraiment à lui. Et pourtant. Il ne faut pas se fier à sa grande taille et à son air bourru, il suffit de gratter un peu sous la carapace pour découvrir une vraie perle de gentillesse et de générosité incapable de faire du mal à une mouche. Hagrid adore les animaux et à le don d’apprécier les plus grands et les plus effrayants, mais cela ne fait pas de lui un meurtrier. Alors oui, je suis catégorique, car j’ai appris à lui connaître et à lui faire confiance : il est innocent.

Ce qui signifie que le vrai meurtrier se promène toujours entre les murs de Poudlard.

Etonnement cela ne m’effraie pas tant que ça. Je ne pense pas qu’il se risquerait à commettre un autre crime si peu de temps après avoir attiré les regards du monde entier, ce serait trop dangereux pour lui. Alors je pense que nous sommes tranquilles, pour l’instant.
Mais Hagrid a été condamné pour rien. Alors qu’il est si gentil ! Enfin je ne peux rien y faire pourtant sans preuve, mais je trouverais bien quelque chose. Mon instinct de louve ne me trompe jamais, il est innocent, et je dois faire quelque chose pour l’aider. Car maintenant, je le considère comme un ami. Et très rares sont ceux qui peuvent s'en vanter.
Je découvrirais la vérité. Et j'ai l'intention de prouver l'innocence d'Hagrid.

Amie et récemment Confidente → Dora est l’une des rares personnes que je peux réellement appeler « amie ». Surtout maintenant que je lui ai confié des choses que je cachais pourtant à tous les autres, même Luka, même Chris… Pour que vous compreniez, il faut d’abord que je vous parle de ma rencontre.
Je suis dans la même classe que Steve, le meilleur ami de Dora. Lui et moi, bien que tout à fait différents, sommes devenus des bonnes connaissances étant donné qu’il est l’un des rares amis d’Hagrid, et je crois qu’il apprécie le fait que je sois gentille avec lui. C’est donc par l’intermédiaire de Steve que j’ai rencontré Dora, et c’est là qu’elle a commencé à absolument vouloir faire de moi une personne sociable. Au début, cela m’agaçait fortement, puisque mon statut d’associable de service me convenait parfaitement. Et puis je me suis attachée à cette jeune fille attendrissante, généreuse et toujours pleine d’énergie. Nous sommes devenues amies, et dès qu’elle m’aperçoit elle se jette sur moi pour me parler, pour faire sortir plus de cinq syllabes de ma bouche. Elle a eu du mal mais, plus le temps passe, plus je m’améliore, et plus je m’attache à elle. J’en suis arrivée au point ou parler avec elle me semble presque aussi naturel que de dévorer cinq romans d’affilé sans prendre le temps de manger. Je dis bien presque. Nous parlons de tout et de rien, j’en apprends à chaque fois un peu plus sur les moldus et leurs habitudes de vie.
Et dernièrement, notre relation à franchie un stade. Pourquoi ? Car j’ai confié à Dora la vérité sur mon adoption, comment je l’avais découvert, et tout ce qui me pesait sur le cœur. Presque tout. On dit qu’il est plus simple de se confier à quelqu’un que l’on ne connaît pas très bien et, même si je n’étais pas d’accord avec ça, je ne peux qu’acquiescer maintenant que j’ai tout révélé à Dora. Heureusement pour moi, il semble qu’elle soit digne de ma confiance. Je l’espère, sinon quoi, si quelqu’un l’apprend, je ne sais pas comment je ferais…