Aliana Wilde

AGE - 14 ans SURNOM – Petite Fée, Ana, Aly, Crevette… ORIGINE - Ecossaise DATE DE NAISSANCE – 15 juin 1930 MAISON – Serdaigle ou poufsouffle STATUT – Sang mêlé EMPLOI - // TES SECRETS – Je suis une fée *w*

Cette histoire commence le 15 juin 1930. C'est-à-dire, il y a quatorze ans. Une journée comme les autres. Sauf pour un jeune couple, marié depuis déjà cinq ans. Car aujourd'hui, à l'hôpital de Glasgow, Amber Wilde, jeune sorcière de 22 ans, mettait au monde leur premier enfant. Et leur dernier. Généralement, dans un couple, la naissance d'un enfant solidifie les liens affectifs. Malheureusement, chez les Wilde, cela n'eut pas lieu.
En effet, quelques mois après la naissance de leur petite Aliana, le couple commença à se déchirer. Les disputes étaient de plus en plus fréquentes. Pendant un temps, les conjoints tentèrent de rester ensemble, pour leur enfant. Malheureusement, une seule possibilité s'offrait à eux : le divorce. Il fut vite prononcé, malgré que se soit très mal vu à l'époque, alors qu'Ana venait à peine d'avoir deux ans. A cet âge-là, elle ne pouvait pas comprendre pourquoi son père quittait la maison pour vivre ailleurs et pourquoi sa mère avait jusque-là pleuré si souvent.
Rapidement Amber recommença à fréquenter les hommes, bien que ces derniers ne souhaitaient pas s'encombrer d'une femme avec une enfant. Mais la jeune mère ne se découragea pas. Elle voulait à tout prix retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Un homme qui pourrait aussi jouer le rôle de père pour Ana.
De son côté, Aliana grandissait tranquillement, sous le regard aimant et attentif de sa mère. Mais aussi sous celui, plus lointain, et tout aussi attendri, de son père, qui ne voulait en aucun cas sortir de la vie de sa fille. Malgré les interdictions de visites que son ex-femme lui imposait. Ana souffrit beaucoup à cette époque, mais prit rapidement l’habitude de sourire, peu importe combien elle avait mal. Sourire, toujours, pour ne pas faire de la peine à sa famille, et pleurer qu’une fois seule dans sa chambre, la nuit, pendant que tout le monde dormait. Une des choses qui la faisait la plus souffrir, c'était le comportement de sa grand-mère maternelle à son égard. Elle ne cessait pas de répéter qu'Ana était la honte de la famille et que c'était à cause d'elle que ses parents avaient divorcés, le tout avec une froideur qui glaçait, aujourd'hui encore, le sang dans le veine de la fillette.

Grandir. Un bien grand mot pour cette puce qui fut toujours plus petite que la moyenne… Car après tout, à 14 ans, elle mesure à peine plus d'un mètre quarante...

Rien de particulier ou sortant de l'ordinaire ne vint troubler sa vie de jeune enfant. Incroyable pour une future petite sorcière. Une vie banale, presque monotone, ennuyeuse.
Sa mère se remaria, avec un dénommé Danny Evey, d'ascendance moldue, et qui se révéla être extrêmement doué avec les enfants. La petite fille aux yeux brillants, âgée désormais de cinq ans, apprécia tout de suite le nouvel zamoureux de sa mère, comme elle le disait elle-même.

Chouchoutée, adorée, surprotégée, Aliana découvrit ses pouvoirs à l'âge de huit ans, lors d'une de ses colères qui deviendront légendaires. Une dispute, avec un de ses nouveaux cousins… Et ce même cousin qui s'était retrouvé accroché à la branche d'un arbre.
Quand Amber arriva après cet évènement, elle… oublia son neveu dans l'arbre, trop occupé à s'extasier devant le fait que sa fille est enfin dévoilée ses pouvoirs. Le pauvre gamin dû attendre près d'une heure avant qu'on le fasse descendre…
De nouveau, le calme plein, à peine rythmé par les rencontres entre la fillette et son père. Il l'emmenait souvent en vacances et aimait passer du temps avec sa fille unique. C'est d'ailleurs lui qui la surnomma pour la première fois "Petite Fée". Appellation qui lui colle encore à la peau, même à Poudlard. Et c'est aussi depuis ce jour qu'elle voue une véritable passion pour les fées.

Puis, enfin, Ana reçut sa lettre pour Poudlard. Quelle fierté et quelle joie. Pour fêter ça, Amber organisa une fête, en l'honneur de sa fille. Chad Wilde fut même invité, alors qu'en temps normal, Amber refusait toujours de le voir. La plupart des invités avait du mal à croire que cette toute petite fille avait onze ans (il lui en donnait en moyenne 8 ou 9) et qu'elle allait entrer à Poudlard. Si petite. Si fragile. Sauf quand elle se mettait en colère…
C'est à cette petite fête qu'Aliana reçut en cadeau de la part de son père, un pendentif. Une petite fée, tenant dans ses bras une pierre, parfaitement ronde, à la couleur des yeux de la sorcière.

Et finalement, Ana intégra l'école. La fillette aima tout de suite cet endroit qui la faisait rêver quand sa mère lui en parlait, lui racontait sa scolarité. Et enfin, elle y était à son tour. Beaucoup d'élèves étaient choqués de voir une chose aussi minuscule des les couloirs ou dans les salles de classe. Et une chose aussi... peu conventionnelle au niveau vestimentaire. Elle ne convenait vraiment pas à l'époque où elle vivait.
Mais elle réussi bien évidemment à se faire des amis! Car même si elle en agaçait certains, il était normal que d'autres apprécis son caractère enjoué et souriant. En cours, le niveau d'Aliana était assez mitigé. Autant elle adorait la pratique et se révélait assez douée, mais dès qu'il s'agissait de théorie, elle déccroche et montre un niveau plutôt mauvais... Il faut dire qu'en étant plus ou moins hyperactive, elle ne supportait pas rester assise sur une chaise à écouter un professeur réciter un cours ou devoir obéir sans rien dire.
Ensuite, niveau coeur à Poudlard ou ailleurs... Ana est déjà tombée amoureuse. Deux fois. Rien de vraiment sérieux surtout que se ne fut jamais elle qui sortit avec le concerné. La première fois, ce fut sa cousine et la deuxième fois, une amie à elle... Du coup elle se donne elle-même un surnom pas très joyeux "la dernière en amour". Mais bon, elle est encore jeune, elle n'a que 14 ans! Bien qu'on lui donne moins... D'ailleurs, au début de l'année, quand elle est arrivée près des carrosses tirées par les sombrals, on lui a refusé l'accès en lui disant que les premières années devaient aller au château en barque. Mais bon, grâce au témoignage d'un autre élève de sa maison, on la laissa finalement monter... Elle était en quatrième année maintenant quand même!!

On ne peut pas parler de Aliana sans aborder la question de son physique, car elle ne ressemble pas vraiment à une adolescente de 14 ans… L’unique héritière Wilde est en effet très petite, atteignant à peine le mètre quarante-cinq. On la prend alors souvent pour une première. Mais elle assume !... le plus souvent, car elle n’apprécie guère les surnoms tel que « crevette » ou autres du même genre.
Et ajoutez à sa petite taille un corps très menu. Mais pas maigre ! Attention à ne pas confondre ! C’est juste que son corps n’a pas encore décidé de laisser apparaître une quelconque poitrine…
Parlons de son visage. Al’ a un petit visage légèrement ovale, fin et, par conséquent, parfaitement proportionnel au reste de son corps fin et sans forme. Comme sur tous les visages, il y a deux yeux, un nez, une bouche, des joues… Le nez, c’est fait. Sa bouche… A vrai dire, ses lèvres seraient un véritable appel aux baisers, mais sur elle, elles perdaient leur aspect… sensuel. Ses pommettes, quant à elles, sont hautes, laissant deviner que plus tard, Al’ pourra bénéficier des termes « fière » et « altière » (combiné à son port de tête déjà plutôt fier à vrai dire). Donc, des pommettes hautes, et colorées d’un joli petit rose naturel. Pas besoin de blush pour obtenir cet effet chez elle.
Puis viennent ses yeux. Ça, la jeune fille en est très fière ! Des yeux en amande et d’une magnifique couleur, un bleu très clair, qui ne perd de sa brillance que quand Aliana est souffrante. Deux belles sphères saphir.
Et ce visage, il est entouré par une cascade de cheveux châtains, à la limite du blond. Ses cheveux lui arrive jusqu’à la naissance de sa poitrine… inexistante. Point.
Développons maintenant son style vestimentaire. De la couleur. Toujours beaucoup de couleurs. Oui, à ce niveau-là, on peut dire que Aliana n’a pas du tout froid aux yeux. Du jaune ! Du vert ! Du rose ! Bref, toutes les couleurs vives et flashy sont bonnes à prendre. Une jupe rose, un collant turquoise, un petit débardeur jaune… Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on la remarque !
Et ses chaussures ! Toute son originalité et son extravagance se concentre autour de ses pieds. De couleurs vives elles aussi, parfois de formes étranges et… ne vous étonnez pas d’y voir de temps en temps une mini peluche dessus…
Mais le principal signe distinctif d’Aliana, c’est le collier qu’elle porte constamment autour du cou. Ce collier est le point final à la liste « Pourquoi appeler Ana « Petite Fée » ? ». Car le pendentif elle porte représente une fée de profil, les ailes déployées et serrant contre elle une sphère de la même couleur que les yeux de la jeune fille.

Pour décrire Ana, il va falloir diviser son caractère en deux : la douce Aliana et la pile électrique. On va commencer par l’Aliana que l’on voit le moins souvent et donc, celle sur laquelle on aura le moins de chose à dire. La douce et innocente Ana. Celle qu’elle est devant les professeurs ou quand elle juge cette image plus convenable pour son intérêt. Comme quand elle veut échapper à une sanction par exemple. Dans ces moments-là, Ana apparaît comme un petit ange . De grands sourires innocents et un calme olympien. Douce, innocente, calme… La jeune fille se révèle alors comme « l’enfant modèle ». Celui dont on ne douterait jamais de la bonne foi et de sa sagesse. Elle peut même se montrer studieuse !
Ensuite, il y a la Aliana pile électrique. Celle que l’on surnomme « Petite Fée ». Une fillette au sourire angélique mais hyperactive qui ne dira jamais non à une bêtise ou à une aventure farfelue. Quand Aliana entre en mode « pile électrique », rien ne peut l’arrêter ou tout simplement la calmer. Un moyen de savoir que la 4e année est en mode hyperactivité ? Elle sautille. Toujours. Elle sautille, sautille, sautille…. Au point de fatiguer ceux qui ne font que la regarder.
Aliana. Soit on l’adore, soit on la déteste. Avec elle, c’est jamais dans la demi-mesure. Car son côté plein de vie, pétillant, constamment souriant peut rapidement agacer.
Pourtant, Ana n’est pas qu’une personne souriante. Elle est par exemple sujette à de violente colère. Elle ne s’énerve pas souvent, mais quand elle craque… on a l’impression qu’une (mini) tornade se déchaîne. Et elle laisse généralement derrière elle un véritable carnage. Petite mais puissante !
Mais il y a une chose à savoir sur elle. Mais quand elle ne va pas bien, qu’elle souffre ou qu’elle a des coups de blues, Ana sourit. Elle ne veut pas laisser apparaître aux autres qu’elle va mal. Une mauvaise habitude qu’elle a prise au moment du divorce de ses parents. Alors, pour savoir quand elle ne va pas bien, il faut soit la surprendre en train de pleurer ou la faire craquer.

PRENOM - Coraline
PSEUDO – Ys’
AGE – 18 ans
NOMBRE DE LIGNE – 25/30 parfois plus
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UN MOT POUR LA FIN ? – vous avez des sucettes à la cerise ? *w*