Caleb Irvan Lestrange

AGE - Presque majeur, j'aurai 17 ans dans moins d'un mois. SURNOM - Cali, Comme Kali, la déesse hindoue de la mort, mais à choisir, je préfère qu'on continue de m'appeler Caleb. ORIGINE - Mes parents sont irlandais, mais la famille Lestrange vit en Ecosse, à Inverness. DATE DE NAISSANCE - Le 12 mai 1928. MAISON - Serpentard, la plus noble des maisons. STATUT - J'appartiens à une longue lignée de sang-purs dont je suis très fier. EMPLOI - Etudiant pour le moment. TES SECRETS - J'ai promis allégeance à Voldemort, celui que vous appelez Tom Jedusor. Je suis un chevalier de Walpurgis.

Le nom de Lestrange vous est familier, pas vrai? Pourtant, vous n’avez peut-être jamais entendu parler de moi. Mais vous avez sûrement connu mes futurs enfants, au moins de réputation : Rabastan et Rodolphus? Oui, c’est bien ce que je pensais. Oh, et à tous les coups, vous avez entendu parler de ma future belle fille, Bellatrix, je me trompe? Non, je ne me trompe jamais. Porter le nom de Lestrange, c’est d’office être à la botte de Voldemort, et c’est moi qui ai lancé la tradition. Vu mon passé et mes parents, il ne faut pas s’étonner que j’ai mal tourné, je dois dire.

Je suis né en Irlande, dans un village semi-magique, au manoir Lestrange. Mes parents sont très respectés dans le monde de la magie. Ma mère, Carista Lestrange, est une potionniste assez connue qui s’est spécialisée dans les antidotes. Elle a déjà obtenu plusieurs contrats avec Sainte Mangouste. Elle travaille à la maison, mais je ne la vois presque jamais, elle passe son temps dans notre cave, qu’elle a aménagé en laboratoire (dans notre première maison comme dans la deuxième). Mon père, Conan Lestrange, est directeur du département des mystères. Alors forcément, on est reconnus et appréciés par les sorciers dignes de ce nom. Le prestige des Lestrange, c’est quelque chose qui se transmet de générations en générations, mes grand-parents, arrière grand-parents et ainsi de suite étaient déjà des grandes figures dans le monde magique. Ce qui fait notre force, c’est qu’aucune goutte de sang moldu ne coule dans nos veines, notre sang est plus pur que n’importe quelle autre, et c’est notre fierté.

Je n’ai manqué de rien, durant l’enfance que j’ai passé en Irlande, dans le village natale de mes parents , ma mère était déjà potionniste à l’époque, mon père n’était tout d’abord que langue de plomb. Ils gagnaient moins qu’aujourd’hui, mais avec les héritages qu’on a reçu, on était quand même plutôt aisés. Je ne sais pas ce que c’est que de ne pas avoir de nourrices, de cuisiniers, de femmes de ménage. J’en ai toujours eu.

Enfant, je ne sortais pas beaucoup de chez moi, j’avais un précepteur pour m’apprendre à lire, à écrire, et les rudiments de la magie. Je ne voyais pas d’enfants de mon âge, à moins qu’ils soient la progéniture d’amis de mes parents, mais ça ne me dérangeait pas. J’étais un gosse solitaire, et plutôt misanthrope. Je passai mes journées à lire. Je ne jouai pas, sauf aux échecs, avec mon père, quand il daignait m’accorder du temps. C’était rare. Ils étaient toujours très occupés. J’étais un enfant délaissé, mais je m’en moquai. J’étais bien seul, j’avais toujours été seul.

Lorsque j’ai eu neuf ans, mes parents ont décidé que nous déménagerions. Mon père venait d’obtenir le poste de directeur, et il souhaitait avoir un domicile en Ecosse, pour le rapprocher de ses lieux de travail, lieux dont nous ignorions tout. Nous avons vendu la maison d’Irlande et avons investi l’unique manoir d’Inverness, une demeure en haut de colline, à l’écart de la ville. Elle était tellement mystérieuse que des rumeurs à notre sujet circulèrent parmi nos voisins moldus. Ça nous était égal, on se moquait de leur idiotie. Mépriser les moldus était une tradition familiale, les haïr était dans les gênes, je n’ai jamais eu à me demander si les moldus étaient vraiment idiots, je l’ai toujours su. C’était comme ça.

Mes parents ont eu peur, à un moment donné, que je sois un cracmol, ça aurait été l’humiliation totale. Mes pouvoirs se sont manifesté vraiment très tard, quand j’avais neuf ans. J’ai fait léviter un chien errant au beau milieu d’Inverness. Heureusement, personne ne nous a vu. Mes parents étaient tellement soulagés que je sois normal que j’aurais pu faire la pire bêtise du monde sans être puni, de toute manière. Moi aussi, j’étais soulagé. Je n’aurais pas supporté une telle honte.

À partir de là, il n’y avait plus de doutes possibles, je ferai mes études à Poudlard, comme tout le reste de ma famille avant moi. Et effectivement, l’été de mes onze ans, j’ai reçu ma lettre. J’avais hâte d’aller à Poudlard, car cette école représenterait un grand changement pour moi, mais je craignais aussi de m’y rendre : Je n’étais pas très sociable, et je craignais de ne pas me retrouver dans la maison où étaient allés tous mes ancêtres. Me retrouver ailleurs qu’à Serpentard aurait été affront pour mes parents (j’ai toujours vécu dans un strict respect de leurs exigences). J’ai effectivement eu la chance d’être conduit à Serpentard par le choixpeau magique.

À Poudlard, je ne me fis d’abord pas beaucoup d’amis, j’étais du genre introverti, qui dissimulait sa timidité derrière une grande agressivité. Solitaire, je passai mon temps enfermé dans la bibliothèque, renfrogné, à ne parler à personne. Je souffrais quand même plus que durant l’enfance de n’avoir aucun ami ou presque. Intelligent, mes résultats étaient excellents, ce qui faisait de moi un cerveau, et une tête de turc. Mon nom ne suffisait plus à me faire respecter.

Tout changea après ma première conversation avec un garçon du nom de Tom Jedusor. J’étais en troisième année et lui en deuxième, et pour lui, mon nom et mes excellents résultats scolaires avaient de l’importance. La première fois qu’il est venu me parler, j’ai pensé le rembarrer, comme je le faisais avec tout le monde, mais je ne le pu tout simplement pas. Je savais qui il était. Et j’étais admiratif face à son charisme assez particulier. Il ne me donnait aucune envie de le contrarier. J’en craignais les conséquences. Notre première conversation m’avait semblé banale, mais je sais aujourd’hui qu’il m’avait testé, ce jour là, m’interrogeant sur mes opinions politiques, mon point de vue sur les moldus. J’ai dû réussir le test avec succès, il m’a intégré à son groupe. À ses côtés, je me sens plus important, j’ai gagné en confiance en moi, je me suis même sociabilisé. Devenir un fidèle de Voldemort a changé ma vie, et je ne reviendrai pas en arrière, même si je me rend compte que mon maître est capable d’aller extrêmement loin et que ça me fait peur (l’affaire de la chambre des secrets la prouvé)… parce que ça me fait peur, aussi, il n’est pas question de rebrousser chemin.

Je suis beau. Je sais, ça peut ressembler à du narcissisme ou à de la fierté mal placée, mais je vous jure que ce n’est pas ça du tout. Je constate juste, très objectivement, que je ne suis pas laid. Je n’ai pas besoin de me mettre en valeur pour ça, je suppose que j’ai juste de la chance. C’est vrai que je n’ai pas la beauté ou le charisme de certains de mes camarades, parce que je ne fais rien pour, mais je m’en sors bien, et je sais que certaines jeunes filles ne snt pas insensibles à mes charmes, j’ai même eu quelques conquêtes, j’ai une petite amie… mais je les délaisse. Je ne suis pas très musclé, mais je ne suis pas un sac d’os non plus, je ne fais pas beaucoup de sport, mais je mange très peu, je suppose que ça compense. Je suis très fin de silhouette, et je ne suis pas très grand, je porte souvent des vêtements épais pour ne pas passer pour une brindille qui s’envolerait au premier coup de vent. D’un autre côté, ça peut me permettre de passer inaperçu quand j’en ai l’envie, et ça m’arrange. Quand je ne porte pas mon uniforme de Poudlard, toujours soigneusement lavé et repassé, je me contente de tenue qui y ressemble : pantalon et polo noir, je ne fais jamais dans l’extravagant, j’aime ce qui est confortable et peut facilement passer inaperçu.

J’ai la peau plutôt pâle, surtout en hiver, où il n’est pas rare que la blancheur de mon épiderme me donne l’air malade, et qu’on veuille m’envoyer à l’infirmerie. Je n’ai ni grain de beauté, ni boutons disgracieux, c’est ce qui me donne des allures de statues très lisses. Mon visage est très fin et lisse également, sans imperfections. Mes cheveux sont bruns foncés, si foncés qu’ils peuvent sembler noirs à certains, surtout en hiver, une fois de plus, mes cheveux s’éclaircissent avec le soleil. Comme ils sont très foncés, ils accentuent la pâleur de ma peau, comme mes yeux. Ils sont d’un bleu très foncé. Cheveux bruns et yeux bleus, c‘est rare, j‘ai conscience de cette singularité et je me doute que ça doit faire partie de mon charme. Je ne me coiffe pas vraiment, deux coups de peigne suffisent à me donner une allure acceptable. Ma coiffure a toujours été la même depuis ma plus tendre enfance, courte, simple à entretenir, et passe-partout. Mon visage un peu rond me donne encore l’air un peu enfantin, ce qui m’ennuie un peu. Je serai bientôt majeur, je voudrais ressembler davantage à un adulte.

Je ne suis ni quelqu’un de sympathique, ni quelqu’un de jovial. Je pense que je n’inspire d’emblée de sympathie à personne, et je ne fais rien pour arranger ça. Je souris ou plaisante rarement, ce n’est pas dans ma nature. Je m’accorde à être plus détendu quand je suis en compagnie des personnes que j’apprécie, mais je ne suis pas un joyeux-luron, même avec mes amis les plus proches. Je suis de nature très discrète. Je n’aime pas faire de vagues ou me faire remarquer. En vérité, je suis un peu timide, je n’aime pas m’exprimer en public ou attirer les regards, mais je le cache bien. Je dissimule mon syndrome d’infériorité derrière de l’agressivité. Quand quelqu’un cherche à s’adresser à moi, mon premier réflexe est de le descendre et de le pousser dans ses derniers retranchements. J’ai beaucoup de répartie. Cynique et sarcastique, je sais frapper là où ça fait mal, et c’est de cette manière que je me protège. De ce fait, je peux souvent sembler hautain et méprisant, même auprès de personnes contre qui je n’ai rien de particulier. Il y a tout de même des gens face à qui je me sens supérieur, les sangs de bourbe et les amoureux des moldus, surtout. Ces gens sont naturellement inférieurs.

Je suis du genre solitaire. Depuis que je fréquente Tom et son entourage, je me suis ouvert, et ai appris à ne pas être seul, mais mon instinct premier m’invite souvent à m’isoler. Je dois parfois me forcer à accorder mon attention aux autres, quand mon esprit rêve de s’échapper. Je dis ça, mais il y a tout de même quelques personnes à qui je tiens vraiment, et avec qui j’aime être. Auprès de ces personnes là, je suis loyal et fidèle. Je suis digne de confiance, et un confident hors pair. Je ne vois aucun plaisir ou intérêt à répéter les secrets des autres.

J’ai passé mon enfance le nez plongé dans des livres, et encore aujourd’hui, la lecture est une de mes activités préférées. Je possède une bonne mémoire, je retiens beaucoup de ce que je lis, je suis plutôt cultivé. Si je devais choisir ma plus grande qualité, je dirais que je suis intelligent. Mes résultats scolaires ont toujours été excellents. À mes BUSE, je n’ai obtenu que des O, sauf en arithmancie, où j’ai eu un E. Je suis un élève appliqué et assidu, du coup, mes professeurs m’apprécient beaucoup. Demandez à Slughorn! Je fais partie de son club, et je sais qu’il m’apprécie beaucoup. Je suis du genre méticuleux et perfectionniste, je veux toujours la perfection, la moindre bavure m’obsède et me dérange.

Vous l’aurez compris, je fais partie des méchants. Je ne suis pas une bonne personne. Je suis opportuniste, et très égoïste, je préfère me soucier de moi plutôt que des autres, et j’agis la plupart du temps dans mon propre intérêt. La mort, l’administrer… je ne l’ai jamais fait, bien sûr, mais ça ne me fait pas peur. Je ne suis pas avide de sang, mais fasciné par le fait d’avoir le droit de vie et de mort sur quelqu’un. Je suis une sorte d’anti-héro. Dans un livre, je serai le personnage secondaire, mais je m’en contente totalement.

PRENOM - Kevin (pas de moqueries, s'il vous plaît)
PSEUDO - Kay
AGE - 22 ans
NOMBRE DE LIGNE - ça dépend de mon partenaire de rp.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? - Par partenariat.
QUE PENSES TU DU FORUM ? - Très joli design et excellent contexte, j'ai hâte d'y faire mon nid.
ACTEUR SUR VOTRE AVATAR - Nicholas Hoult.
UN MOT POUR LA FIN ? - /